Server : Apache System : Linux webd348.cluster026.gra.hosting.ovh.net 5.15.148-ovh-vps-grsec-zfs-classid #1 SMP Thu Feb 8 09:41:04 UTC 2024 x86_64 User : hednacluml ( 122243) PHP Version : 8.3.9 Disable Function : _dyuweyrj4,_dyuweyrj4r,dl Directory : /home/hednacluml/matthieu/html/ |
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<TITLE>Soci�t� id�ale</TITLE>
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<P>Imaginer la soci�t�...</P>
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<H1 STYLE="text-align: center;">Soci�t� id�ale</H1>
<P> </P>
<P STYLE="text-align: justify;">Il y avait une soci�t� o� r�gnait l'�galit� et la fraternit�. L�-bas, le parlement investissait pour l'avenir. Pour eux investir c'est enrichir un pays en ne cr�ant pas de manques. Il ne
fallait donc pas trouver de la pauvret�, du ch�mage. On investissait pour des grands travaux car il y en a toujours � mettre en �uvre. Les moyens de communication �taient �conomiques et rapides. L'�nergie �tait
in�puisable. On �tait en excellente sant� gr�ce � l'environnement agr�able dans chaque r�gion ou ville. Les citadins et les ruraux vivaient tous aussi longtemps. La recherche se faisait dans tous les domaines. On
venait investir dans ce pays � la vie facile. Les autres pays devaient de l'argent � cette nation novatrice.<BR><BR>Seulement les investisseurs devaient de l'argent � l'�tat pour engager les travaux. Il n'�tait pas
bon d'�tre un investisseur qui ne respecte pas son environnement. Il n'�tait pas bon d'�tre �go�ste quand on pense argent. Cela g�nait les plus hautes autorit�s. Elles influen�aient chaque citoyen un peu plus chaque
jour. Au d�but, ce n'�taient que de petites critiques, puis les sondages sur ces critiques permettaient de rab�cher les m�mes anath�mes sur une fausse pauvret� des plus riches.<BR><BR>Alors on d�cida de faire des
�conomies. On annula les travaux sur la recherche fondamentale pour le pays, la recherche qui renomme une nation. On annula aussi les grands travaux, m�me si des personnes travaillaient gr�ce � eux. On n'am�liorait
ainsi plus l'environnement.<BR><BR>Au d�but, tout le monde �tait content, except� ceux qui ne travaillaient pas. On ne savait plus quoi faire de l'argent emmagasin�. Mais � un moment donn� il n'y avait plus d'argent
dans les caisses car on investissait plus. Alors on d�cida de baisser les salaires les plus bas car ceux qui avaient les salaires les plus bas ne votaient pas. De plus ils acceptaient que le pays �conomise de
l'argent. Ils pensaient tout simplement que les �conomies permettaient de gagner encore plus.<BR><BR>Alors le pays devint comme les autres. Les citoyens se disaient que tout pouvait fonctionner sans l'�tat. Mais les
disparit�s et les in�galit�s commen�aient � gagner le pays. Certains ne comprenaient pas pourquoi faire des �conomies impliquaient de mettre � part des petites gens, de ne pas les r�mun�rer. Mais la majorit�
s'enrichissait pour les autres classes, � ce qu'elles disaient.<BR><BR><BR>Alors on commen�a � voir des jeunes dipl�m�s faire la manche dans la rue. Les autres pensaient voir des fain�ants et disaient qu'il fallait
les mettre hors du pays. Puis les entreprises ne b�n�ficiaient plus des investissements de l'�tat. L'�nergie �tait d�pens�e pour rien. Le cadre de vie se d�truisait. La sant� p�tissait. La vie devenait insupportable
pour les citadins mais eux avaient de l'argent. Ils pensaient � acheter des maisons hors des villes. Alors on d�pensait encore plus d'�nergie pour fuir la pollution. Tout s'�puisait. Le pays croulait sous les
dettes. On demandait aux classes les plus peupl�es de rembourser la dette. Mais eux n'avaient que tr�s peu d'argent. Le pays s'appauvrissait comme jamais auparavant. Les citoyens se rendirent compte que la situation
�tait d�sesp�r�e et qu'il faut r�agir.<BR><BR>On d�cida alors de mettre en place de grands travaux. Les anciens disaient que cela servirait. On se remit � penser au futur. En effet c'est l'utopie qui permet de se
projeter vers une soci�t� qui dure. Mais d'autres pays avaient copi� cet ancien exemple. Il �tait plus difficile de se faire une bonne place sur le continent. Cependant le pays recommen�ait � se d�velopper car le
ch�mage se r�duisait. Le peuple avait fait le bon choix. Les erreurs du pass� s'effa�aient gr�ce � cette volont� commune de bien faire. Les �coles permettaient d'apprendre facilement et on pouvait facilement
divulguer ce qu'on avait compris. Tout le monde savait un peu ou beaucoup de choses sur tout. Les dipl�mes �taient difficiles � passer mais beaucoup r�ussissaient. Et si on n'avait pas de dipl�me on
pouvait se refaire dans la vie active.<BR><BR>Au fur et � mesure que le pays regagnait de l'enthousiasme, tout le monde comprit que l'argent n'est qu'un moyen d'arriver � ses fins. L'argent n'est pas un but car il
n'est que de la mati�re. Cet enthousiasme permit de faire revenir le pays au plus haut rang. En effet, l'envie de bien faire est souvent ce permet � l'homme d'�tre fraternel et d'aller plus loin, toujours plus loin.
On se rendit ainsi compte que la vanit� de l'argent est � proscrire d'une soci�t� qui perdure.<BR><BR>L'exc�s d'un r�ve permet d'aider � comprendre une soci�t� � construire, et donc un avenir meilleur pour un
peuple. Il faut r�ver sinon la soci�t� ne fait rien. Sans r�ves l'avenir n'existe pas.</P>
<P STYLE="text-align: right;"><BR>Matthieu GIROUX</P>
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