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User : hednacluml ( 122243)
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"<div>Beaucoup nous disent « Soyez des professionnels ! » sans nous donner les moyens de le devenir. Nous apprenons pour nous assurer de savoir dans notre travail, alors qu'il s'agit d'améliorer la société par le lien. En effet, notre société passe son temps à associer entre nous des éléments entre eux.<br>Le \"professionnel\" français est censé être cartésien. Il est censé épurer ce qu’il fait pour le rendre acceptable. En effet, Descartes a utilisé la dualité pour étudier les émotions afin de créer \"Le Discours de la méthode\", qui permet d'épurer. Seulement l’enfant n’épure pas pour apprendre. Il veut comprendre pour pouvoir se souvenir. Or il n’y a rien de mieux que l’association d’idées pour comprendre, puisque la société fonctionne par le lien. La dissociation et son épuration des idées mènent au manque de compréhension.<br>Quand on crée, il ne s'agit pas de fournir un travail pour les autres, mais de satisfaire son esprit, sa nature. Notre esprit adore ce qu'il comprend et crée ensuite par l'âme, face à ce qui l'interroge. Même un travail de simplification nécessite une nouvelle explication, si son esprit le veut.<br>En effet, la performance c'est surtout anticiper. Anticiper nécessite d'aimer son travail pour avoir envie de l'améliorer, pour avoir des rêves bénéfiques. Il ne s'agit pas de penser au travail, plutôt de s'épanouir avec son activité. Un professionnel performant ne peut le rester qu'en s'estimant, en aimant aussi son travail.<br>L'exemple du professionnel est montré comme quelqu'un qui sait. Seulement on ne montre aucunement la démarche qui a permis d'aboutir à cela en 2014, tout comme on ne montre aucunement à l'école ce qui permet exactement d'aboutir au travail demandé, la démarche des auteurs, leur esprit scientifique expérimentant, sans parler des artistes qui essaient d'en comprendre certains rouages.<br>Toute nouvelle démarche est inattendue. Mon livre sur l'écriture est une compréhension de l'apprentissage de l'écriture manuelle et du dialogue. Ce livre utilise la passion de l'écriture pour expliquer l'écriture aux débutants, par le lien et la réflexion scientifique. Au final, je n'explique que comment fonctionnent des procédés de recherche de la vérité. Mon livre a permis notamment d'améliorer un journal parce que ses rédacteurs ne trouvaient pas exactement comment expliquer simplement et psychologiquement un message philosophique et scientifique.<br>Mes livres sur la créativité et l'écriture sont des livres de coaching scientifique par les solutions. Mon livre sur l'écriture a répondu aux attentes d'un journal d'un réseau international parce j'ai tâtonné longtemps pour simplifier. J'ai amélioré l'apprentissage de l'écriture créative par la passion d'un débutant, qui permet aux experts de se rappeler et de s'interroger. La rédaction du journal m'a alors engagé vers mes livres sur la créativité, la politique et l'économie physique.<br>Le coaching consiste à engager la réflexion pour comprendre. Les solutions permettent de donner envie de réfléchir. Alors la réflexion scientifique apporte ensuite des vérités à celui qui écrit, ce qui lui donne envie de poursuivre. Les solutions peuvent être des vérités, des définitions, le secret d'un mot, un tableau, une réflexion sur tout ce qui interpelle le scientifique et l'enfant.<br>Le coaching scientifique par les solutions est né lorsque je discutais avec Charles. On trouvait des solutions par la simplicité, l'humour et l'intuition du dialogue. En découvrant mes intuitions, j'ai réappris l'écriture. Ayant dialogué par intuitions, je me suis dit que les solutions qu'on trouvait n'étaient pas le plus important. Le plus important était l'épanouissement apporté, c'est à dire le mouvement qui permet de partir à la recherche de sa puis de la vérité. J'avais longtemps observé à l'école et définissait des personnalités par les prénoms. Puis, militer pour convaincre me permettait de deviner les solutions par mon intelligence intra-personnelle, pour recréer mon intelligence inter-personnelle, afin de définir la psychologie humaine par ma recherche de vérité. Définir cette pyschologie permet d'engager à chercher sa vérité. Charles me dira plus tard que pour être heureux comme lui, il faut une longue recherche de vérité, que ses frères ne veulent pas engager. Je pense que mon intuition a permis d'engager ce parcours vers le bonheur, pour ceux qui souhaitent le découvrir.<br>Beaucoup d'autres livres de coaching subi laissent beaucoup moins de liberté au lecteur, parce que ces livres ne tâtonnent pas pour améliorer. Ils créent des raccourcis en simplifiant. Cela créera donc des incompréhensions chez le lecteur. Or quelqu'un qui aide doit juste transmettre pour épanouir avec ce qu'il a écrit, afin que son disciple sache mieux par sa volonté de comprendre.<br>Toutes vos questions semblant bêtes et idiotes peuvent soulever quelque chose de fondamental, à savoir ce manque de transmission et ce cloisonnement de l'humain. Alors écrivez ou créez dès que c'est possible. Discutez sur vos limites même si cela parait certain pour les autres. Il est nécessaire de rappeler nos bases historiques et scientifiques. Comme cela vous gagnerez en assurance. Vous améliorerez alors  vos limites. Nous pouvons tous être des chercheurs pour nous épanouir et épanouir les autres.<br><br>Mes Notes<br>Dès que vous avez trouvé une solution, écrivez la pour la faire lire par quelqu'un.<br></div>",
"<div>Pour les enfants, la réflexion scientifique est déjà acquise. Il n'y a plus qu'à élargir ses connaissances, comme dirait un professeur. En effet, la réflexion scientifique est en vous. Les enfants ont appris à supposer, à deviner, à tester, lorsqu'on a appris à parler et à marcher. C'est cela la réflexion scientifique. Les enfants sont des scientifiques nés.<br>Ceci dit, il n'y a pas qu'à élargir ses connaissances. Quand on crée quelque chose avec ses mains, en écrivant ou en utilisant un instrument ou outil, on change son esprit, on le transforme. Ce livre va vous initier, comme des enfants créatifs, à le rester, en vous éveillant vers de nouvelles créations. Vous êtes créatifs tant que vous gardez votre esprit éveillé d'enfant. Il s'agit juste de vous occuper à changer votre esprit, à le transformer, pour qu'il soit pleinement adulte, lorsque vous ne serez plus classé comme enfant.<br><br>Mes Notes<br>Créer en dessinant ou en se disant si pour écrire.<br></div>",
"<div>Tout n'est pas blanc ou noir. Il existe beaucoup de nuances dans le gris. Lorsqu'à l'école on sépare, on dissocie, il s'agit à ce moment là de lier dans son esprit. Toute séparation nécessite lien.<br>Des images peuvent aider à lier. Il s'agit des symboles. Ce sont des images représentatives. Un mot peut être un symbole. Après avoir séparé les différentes représentations, on va associer avec des images qui symbolisent des idées et des mots. Après avoir défini cette dissociation, on va lier en rêvant sur l'association.<br>Ainsi, lorsque la maîtresse sépare des éléments, on associe dans son esprit ensuite, en s'aidant, plus tard, de dessins symboles.<br>Par exemple, on peut dessiner en symboles des architectures. Il s'agit, alors, de visiter l'ouvrage, pour en comprendre l'essentiel, afin de le dessiner.<br>Comprendre un mot permet de transformer le mot en symbole. Les langues grecque et latine permettent de mieux comprendre nos mots.<br><br>Mes Notes<br><br>Chercher à comprendre la construction de grands mots. Ceci est un parcours de recherche de vérité.<br></div>",
"<div>Les écoles ont besoin des industries pour exister.  Une industrie permet de produire des jouets ou outils en série, c'est à dire de façon identique. Les industries utilisent de grosses machines qui servent d'outils pour réaliser ces séries rapidement. Une série ce sont des objets identiques. Ce sont les industries qui nécessitent des chercheurs et des ingénieurs, pour concevoir de nouveaux produits. Ces travaux qualifiés, où l'on cherche à créer de nouveaux outils pour l'humanité, sont très enrichissants.<br>Comme l'agriculture, l'industrie fait vivre beaucoup de personnes. L'agriculture, dans la campagne, a d'ailleurs besoin des industries pour automatiser des tâches difficiles. Ainsi on passera, plus tard, notre temps à automatiser les tâches difficiles, pour s'épanouir à chercher de nouveaux robots. <br>On aura juste à éveiller notre passion vers ce qui sera génial, en cherchant à améliorer les limites de l'humain. Ça n'est que ça être un génie. On méditera pour dialoguer afin d'améliorer la société. On jouera de la musique pour être aussi manuel qu'un robot.<br><br>Mes Notes<br>Visiter une industrie avec son quartier ou avec l'école.<br></div>",
"<div><br>Selon Henry Charles Carey, la richesse c'est savoir utiliser ce qu'on a. En effet, à quoi cela sert-il de posséder quelque chose que l'on n'utilise pas ? Pour devenir riche, il faut savoir utiliser des instruments ou des outils. Le travail manuel permet de diversifier son esprit tout en le liant. <br>Les entrepreneurs associent facilement les humains entre eux. Ils associent constamment dans leur esprit. Les chercheurs sont de véritables enfants trouve-tout, capables d'enseigner tout en créant des outils complexes. Les instituteurs peuvent éveiller les enfants, s'ils adorent leur passion. Un bon professeur veut que l'enfant devienne meilleur que lui. Il se passionne pour élever constamment les enfants. L'agriculteur sait gérer son entreprise agricole, tout en créant beaucoup d'activité autour de lui. L'ingénieur est celui qui prépare le travail, ou qui sait tout faire dans l'entreprise. Il prépare le travail de l'agriculteur, lui aussi ingénieur. Il se passionne à améliorer son travail et celui de la société.<br><br>Mes Notes<br><br>Écrire sur ce que l'on connaît ou ce que l'on souhaiterait connaître.<br></div>",
"<div>La musique telle qu’elle est diffusée permet d’avoir des émotions, mais pas de réfléchir pour agir. Cette approche musicale, visant à se transformer, n’est non seulement pas comprise, mais a été en plus refoulée par l’oligarchie très souvent. Par exemple, il est possible depuis longtemps qu'il y ait un retour des instruments baroques, plus beaux, grâce aux micros dits high-tech.<br>Si on écoute la musique classique de certains compositeurs, celle-ci peut nous faire réfléchir, puis nous pousser à méditer, des liens se font alors dans notre esprit. Nous gagnons alors en rationalité artistique et en éveil. Nous voulons agir selon cet éveil.<br>Bach a composé des musiques permettant d’apprendre à ses élèves. Ses compositions sont dans le domaine public, sur les sites www.devenircreatif.com, ou Muse Open. On peut citer par exemple la Toccata et fugue en ré mineur, ou l’Allegro moderato en sol majeur. Sa musique utilise des dissonances, autour de voix. En étant dissociées, elles ressemblent à du jazz bœuf. Le jazz bœuf est un ensemble d’envolées musicales.<br>Les dissonances sont des notes proches, jouées en même temps, ou l'une à côté de l'autre. Les dissonances sont proches des fausses notes. Elles ne s’oublient pas. Pour Bach et Mozart, ainsi que pour d’autres compositeurs orientés par l’amour de l’humanité, les belles dissonances ont une très grande importance_: Elles engagent la réflexion. En effet, c'est l'inhabituel qui engage notre envie d'évoluer et d'être en mouvement. Les classes mixtes, où les élèves s'apprécient, évoluent très vite. <br>Les fausses notes ne s’oublient pas. D’ailleurs certains professeurs de musique vous diront qu’il faut les éviter à tout pris.  Les dissonances sont belles, avec une harmonie amenant l’envie de penser à quelque chose, un rythme suffisant engageant les voix, ou bien un instrument spécifique avec un chœur. Chez Bach, Beethoven, ou Mozart, les dissonances sont en grande partie un point sur une partition, engageant la réflexion. Ne cherchez pas à écouter. Cherchez à vous épanouir. Le religieux positif Vivaldi et Beethoven, le politicien de l'association artistique, ont utilisé cette démarche pour révolutionner les esprits.<br>Par ailleurs, quand vous entendez certaines notes, vous souhaitez une fin. C’est instinctif. Si vous arrêtez la gamme de do au si, vous attendez une fin. Avec le la, vous vous impatientez. On peut jouer ainsi pour faire tenir l’haleine de l’auditeur. On peut alors comprendre que l’Ave Verum de Mozart, réflexion sur la mort de Jésus, puisse inspirer les films d’action, où un acteur agonise longtemps. L’Ave verum de Mozart met par contre en valeur, par la musique, la notion d’éternité, donc de beauté, en nous faisant réfléchir avec des dissonances, entre les chœurs en plus.<br>Cette création musicale n’est possible qu’en ayant la foi en la vie, avec un esprit scientifique. Leibniz indique que la vie et l'esprit sont très dépréciés des scientifiques de son époque ou actuels. Ce genre de création musicale sur les limites de l'humain amène la réflexion chez les autres. L’esprit scientifique en question, c’est la réflexion platonique, visant à vérifier des hypothèses par expériences, pour créer une hypothèse supérieure aux autres. C’est ce que peut créer l’Ave Verum de Mozart, si l’on souhaite réfléchir, ce que veut Mozart.<br>Comment est-il possible d’engager une réflexion_?<br>Les voix sont les reflets d’une situation, souvent dans la nature ou l’humain, nous faisant penser_:<br>- À une progression, car la complexité de la partition s’intensifie ou évolue.<br>- À un ensemble d’interactions entre les voix, portant à la réflexion.<br>- À une plénitude en cours d’acquisition, si les voix deviennent graves ou s’allongent.<br>La création et l’enseignement sont sur, ou sont les limites de l’humain. Si on s’intéresse à comprendre comment les compositeurs créent une partition, le mieux pour les comprendre est de faire comme eux, en adaptant ce qu'on écoute à son esprit. On apprend d’abord à comprendre comment sont construites les partitions nous faisant évoluer, pour ensuite montrer comment on ressent les éléments, afin de faire réfléchir sur nos limites, puis celles de notre société.<br>L’écriture est centrale dans toute activité de création, car elle permet de comprendre où l’on veut aller. La poésie est nécessaire, avant tout début de création, car elle permet de comprendre ses sens, afin d’élever son esprit vers le beau, vers l’éternité, vers la transmission.<br>Quelqu’un, qui ne fait que profiter du beau d'une musique et de l’éternité d’une réflexion humaine, sans essayer de la créer, finit par s'ennuyer. En effet il ne peut que s’adapter à cette beauté, sans agir pour créer sa propre vision, d’une situation humaine. Il ne comprendra plus pourquoi il a aimé cette écoute. Il voudra alors retourner vers la société de consommation, pour profiter et donc subir, sans vouloir agir sur les autres.<br><br>Sources<br>Exemple de perception des éléments avec les ’jeux de plage’ - Ehma - Art Libre - www.musique-libre.org<br>Schumann et Ave Verum de Mozart<br>http://fr.wikibooks.org<br>https://fr.wikipedia.org - musique<br>http://classic-intro.net<br><br>Mes notes<br><br>Trouvez de la musique qui fait réfléchir pour agir.<br>En se remettant en cause, avec l'écoute de musiques, distinguez une musique ne rendant qu'émotif d'une musique, amenant la réflexion constructive. Ces musiques amènent des rêves constructifs, quand on est calme.<br></div>",
"<div>Pour écrire une musique, on adapte ce qui nous entoure à notre esprit. On peut commencer avec des objets qui font du bruit. En écoutant une musique, il est alors possible, qu'en pensant à un objet ou une idée, cela inspire la création d'un chant personnel. <br>Alors on tape sur les touches d'un piano, pour inventer une histoire, en ayant en tête les différences entre les notes. Ou bien on crée de la musique sur papier, grâce au solfège, qui consiste à écrire de la musique à jouer.<br>Après avoir entonné un chant, la musique aura une façon d'évoluer, en reprenant le chant d'une autre manière. <br>Cela peut inspirer des poésies ou chants. La poésie et l'écriture permettent de trouver des idées. Au lieu de consommer, on fait évoluer son esprit pour le transformer.<br>La progression d'un chant va vers une recherche de plénitude, avec des notes qui s'allongent, par exemple. On ajoutera des voix associées entre genres, nécessitant un professeur de solfège pour leur création. Quatre voix plus ou moins aiguës, ou graves, permettront de créer une belle musique, pour peu que ces voix s'accordent. <br><br>Mes Notes<br><br>Avec un piano et son manuel, démontrez que la gamme de do est répétée plusieurs fois. Découvrez la similitude entre le do et le sol, entre le ré, le fa et le la.<br></div>",
"<div>C’est prouvé scientifiquement. Notre inconscient nous parle et émet des idées. Notre inconscient, c’est la partie de notre esprit qui réfléchit sans nous le dire, toute seule. Réfléchir n'est pas ruminer comme on pourrait ruminer si on pense trop. Réfléchir c'est utiliser son esprit pour se rappeler des idées, les reformuler pour se les approprier afin de bien les comprendre et qu'elles reviennent en nous aux bons moments, afin de découvrir son âme avec quelque chose qui semble alors génial ou incompréhensible pour nous, car venant d'on ne sait où. Ainsi, lorsque notre esprit se repose, l’inconscient réfléchit, puis nous influence, selon et pour notre recherche de vérité.<br>Tout d’abord, l’esprit doit être reposé, pour pouvoir utiliser son inconscient. En effet, le monde du début du XXIe siècle est rempli de transgressions, amenant au désir à court terme. Ce désir à court terme fait tourner notre esprit en rond, au lieu qu’il soit dans une dynamique de transformation, selon la recherche de vérité. On a constaté, scientifiquement, que les troubles de l’esprit sont dus au blocage de l’esprit, bloqué à tourner en rond à un certain endroit. Un inconscient, qui ne peut réfléchir à notre place, nous empêche de lier. Ainsi une information semblant impensable finit par être acceptée, parce qu'elle est répétée, parce que nous ne réfléchissons pas. Il y a une corrélation entre les troubles psychiques et l’objectif de la télévision, en 2015.<br>Sachant qu’il ne s’agit pas de tourner en rond, il s’agit donc de créer des objectifs, pour évoluer vers le long terme, afin de lier de nouveau dans son esprit. Il s’agit, alors, d’aller contre ce que notre inconscient nous dit comme explicite et faux, pour le remplacer par ce qui est implicite et vrai. Les religions parlent de l’esprit malin, qui nous dicte des mensonges. C’est l’inconscient qui a accepté des choses qu’il savait édulcorées, mais qu’il a acceptées parce que répétées ou agressives.<br>Un esprit, bloqué à tourner autour des mêmes idées, pourrait empêcher de dormir. L'activité physique permet de mieux dormir. Le piano, pouvant être appris avec un simple manuel, permet de créer un ensemble de liens dans l’esprit, qui redirigeront ce blocage vers d’autres zones de la mémoire. Pour ceux qui ont une maladie psychique identifée, il s'agit de dialoguer avant avec un spécialiste qui permettra de faire réfléchir pour éloigner le \"tourne en rond\".<br>Méditer, après avoir joué, permettra de jouer du piano dans son esprit, sans musique, ou plutôt avec la musique de son esprit. Cela dédouanera du \"tourne en rond\" de la télévision. Notre inconscient sera mieux activé, grâce au repos. On sera sociable. On voudra s'adapter aux autres. On voudra peut-être aller vers d'autres instruments à clavier.<br>La méditation ne consiste pas qu’à trouver une idée, pour se satisfaire de cela. Certains scientifiques ou certains religieux vous diraient : « Une idée, c’est élémentaire ! ». En effet la méditation a différents objectifs. La méditation et le dialogue permettent de lier la foi avec la raison. La foi c’est le fait de se fier moralement à quelqu’un. La raison c’est anticiper clairement une réalité. Dès que l’on pense que l’on va perdre la foi, il est possible que notre raison se perde. Tout comme celui qui a perdu la raison finit par perdre la foi. Le doute nous remplit alors. Il demande de réaliser des choix. Nous pourrons mal choisir et revenir sur notre décision. Dans ce cas il ne faut pas choisir la facilité mais utiliser sa recherche de vérité. Il est donc primordial que la foi et la raison soient unies, par le dialogue, le questionnement scientifique et la méditation.<br>Le premier objectif de la méditation est d’adapter notre esprit à notre environnement. C’est la vision à court terme de la méditation. En préparant notre esprit par le lien, nous pouvons attribuer une ou plusieurs solutions scientifiques et humaines à tout problème. Ainsi, nous cherchons de plus en plus à résoudre des problèmes, ce pour quoi nous sommes faits. Cela peut nous mener vers de nouvelles passions, vers de nouveaux talents.<br>Le deuxième objectif ne consiste pas à préparer à trouver une idée, c’est à dire scientifiquement à utiliser un neurone. Il s’agit de lier un ensemble de neurones, pour pouvoir proposer plusieurs choix ou solutions, à celui qui n’accepterait pas une solution unique. Il s’agira aussi de trouver le moyen de convaincre, grâce au dialogue et à la philosophie scientifique. Il s’agira aussi de faire face aux émotions, avec la poésie et l’écriture. Il s’agira enfin d’avoir une activité physique, pour que les neurones soient bien irrigués, unis par les flux sanguins. Beaucoup ont ce besoin de se défouler, pour que leur esprit soit au mieux et complet.<br>Le troisième objectif consiste, après les deux premiers, à écouter celui qui organise l’univers avec la vie et notre esprit. Pour comprendre Dieu, il s'agit de prendre des risques favorisant l'humain et la nature. Avec la méditation, il s'agit donc de prendre des risques calculés, pour acquérir des droits durables, pour soi aussi. Ceux qui demandent beaucoup obtiennent ce dont ils ont besoin.<br>Quand notre esprit est suffisamment adapté à l’environnement humain, il peut anticiper sur ce qui va arriver. La méditation permet, aussi, d'englober la société humaine. Ainsi, pour anticiper sur le communisme et le libéralisme, Lucie a montré les Secrets de Fatima. Ces secrets anticipent tellement sur l’humain, qu’ils ont indiqué des choix à faire par rapport aux chutes prévues du communisme et du libéralisme. D’autres vous parleront du joueur de cartes, qui gagne effectivement sans tricher, bien que tous croient le contraire.<br>Le quatrième objectif, selon la religion, après cette nécessité pour moi de créer le lien dans l'esprit, est surtout de retrouver le lien entre l'esprit, l'âme, et la matière. Notre recherche de vérité nous permettra effectivement de créer notre talent, ou de le perfectionner. Seulement nous sommes dépendants très fortement de notre environnement. Notre esprit relationnel a besoin des objets pour se comprendre. Nous sommes créatifs par notre raison aussi. Il s'agit d'aider cette raison avec certains objets.<br>Un esprit passionné peut se construire pour anticiper, ou contourner des événements, plus ou moins longs et réguliers, attendus ou redoutés. Nous évoluons alors pour adapter notre esprit à anticiper les événements, les plus redoutés. Si ces événements ne sont pas résolus, voulant alors comme chaque enfant la puissance, enfance présente en nous par notre comportement et ses intuitions qui nous font, donc le pouvoir de résoudre les problèmes cruciaux pour nous, nous nous créons des ersatz de puissance. Ces événements seront résolus par la méditation et le dialogue scientifiques, avant tout par l'humain. Nous ne pourrons méditer sur ces événements qu’avec le pardon et le calme. Si ces événements sont résolus, notre inconscient nous incitera à anticiper d’autres événements. Notre esprit se développera vite. <br><br>Sources<br>Méditation et dialogue<br>Radio Fidélité Mayenne<br>Solidarité et Progrès<br><br>Mes notes<br>Quand votre esprit est calme, après un exercice physique ou après avoir discuté, avant de dormir, méditez en vous reposant. Des liens ou des idées viennent...<br></div>",
"<div>À quoi sert une pédagogie créative_?<br>Une pédagogie créative sert à devenir rationnel, ingénieux et psychologue._Les métiers freudiens, tels la psychologie ou la publicité et ses sondages, ne sont pas utiles pour une population rationnelle et créative. En effet, Freud a décrit l'humain comme un animal. Il a même créé la notion d'adolescence.<br>Johann Friedrich Herbart a révolutionné l'école allemande. Il n'était aucunement autoritaire. Seulement il disait que le tact c'est faire avancer l'élève à la mesure de sa passion, vite ou lentement. Humaniste, il indique que le professeur doit être passionné, par ses expériences, pour galvaniser l'élève. Si le professeur n'est pas pas passionné, il peut lire et écrire pour comprendre Herbart.<br>Ensuite l'enfant aime les jouets qui favorisent la créativité. C'est ce qu'a compris la première femme médecin d'Italie, Maria Montessori. Maria Montessori a réussi à résoudre de grandes difficultés d'apprentissage, en favorisant l'autonomie pédagogique par la créativité de ses patients grâce à des règles.<br>Un jouet Montessori a une utilité artistique, scientifique ou industrielle. Autrement dit, il existe des jouets créatifs que l'on trouve en cherchant sur Internet \"Jouets Montessori\". Les méthodes Montessori permettent d'apprendre et de construire la science, les sens, l'écriture, la botanique, la géométrie, la géographie, etc, aux enfants. Il suffit d'expliquer à un enfant comment utiliser le jouet, pour qu'il apprenne avec sa créativité. L'enfant s'approprie alors un génie, par de simples explications des parents, sur l'utilisation de ces jouets créatifs.<br>L'enfant n'a alors aucune envie d'aller vers les jeux de divertissement, car il sait qu'il galvanise son imagination avec des jeux inventifs. Ces jeux semblent être faits pour une élite, parce que les écoles Montessori sont privées. Ces écoles privées ont créé des scientifiques ou acteurs qui défendent maintenant la créativité, dans l'école publique et laïque.<br>Les mamans et les brocantes, ou les vides greniers, vous permettent de vous approprier aisément ces jouets. Des mamans revendent des jouets, qu'elles voient comme créatifs, en nommant leur site web, ou une partie : \"Jouets Montessori\". Vous pouvez aussi trouver, dans des brocantes et vides greniers, des machines à écrire, des bouliers, des balances, des manuels, des livres de la résistance.<br>La balance manuelle galvanise la créativité scientifique d'un enfant. La machine à écrire, réutilisée en 2015, par les services secrets européens, peut se restaurer ou s'acheter facilement, si vous arrivez à la recharger en encre. La machine à écrire permet le respect des mots, afin d'anticiper.<br>Les meilleurs pianos électroniques sont les Yamaha 61 touches, pour le début, Roland pour le rendu et le toucher, Korg pour l'ordinateur. Ils peuvent être utilisés très tôt, pour improviser, avec un simple manuel, selon la musique qui fait réfléchir pour agir. Improviser consiste à créer un dialogue pour éventuellement créer une nouvelle musique ensuite, grâce à un ordinateur. Si un des parents connaît l'utilité des notes, pas besoin de cours. Créer transforme l'esprit. Avec la musique, il suffit d'apprendre une partition, ou d'improviser pour créer, avec un musicien qui nous écoute. <br>La pédagogie Steiner, un croate favorisant l’esprit, s’attache à développer entièrement la personnalité de l’élève. Elle permet indéniablement que l'enfant comprenne l'intérêt des industries et de la vie. Ainsi on lui apprend à écrire tard. Il apprendra par ailleurs très vite à écrire ensuite, car on aura développé chez lui les métiers artistiques et manuels. La pédagogie Steiner est très intéressante, pour que l’enfant comprenne bien ce qu’est la magie de la vie. D’ailleurs les religions y sont décrites méthodiquement.<br>La pédagogie Freinet a été un très bon exemple de pédagogie créative, à la fin des années 1950. Elle a été créée par un enseignant français de la première guerre, voulant devenir simple relais, en favorisant l'apprentissage de l'élève. Les autres instituteurs l'ont alors loué, car ils avaient vu que l'école selon Jules Ferry avait créé des fanatiques. <br>La pédagogie Freinet consistait, dans des classes de 15 élèves maximum, à comprendre l’élève, pour qu’il évolue par sa créativité, sans forcément avoir besoin des notes. On demande à l'enfant \"Quoi de neuf ?\", pour créer avec lui selon sa recherche de vérité. Il existe en 2014 une école publique Freinet par grande ville. Seulement les classes y sont de 30 élèves, en moyenne. Cela nécessite des lois, incluses dans l'apprentissage créatif de l'enfant. On autorise l'enfant à aller pour les autres, contre les lois trop communes.  Aller contre certaines lois, pour faire respecter une morale supérieure, peut permettre d'améliorer par jugement la collectivité. Un enfant créatif et épanoui, par ailleurs respecté, doit pouvoir communiquer avec les autres, pour sa confiance et les autres, pour être génial avec ses camarades.<br>On demande \"Quoi de neuf ?\" à l'élève, pour que l'instituteur élabore des cours pratiques, en répondant simplement aux interrogations de l'enfant. Il y a des travaux en groupes. Cependant certains sont individuels, car ils nécessitent pour l'élève qu'il évolue, selon son intérêt et sa volonté de comprendre, demandant, certaines fois, beaucoup de temps pour bien les comprendre.<br>Toutes ces classes utilisent la créativité pour apprendre, parce que apprendre c'est créer dans son esprit. Une pédagogie consistait à apprendre à apprendre en utilisant des classes de 2000 élèves. Créer c'est adapter son environnement à soi. Celui qui construit comprend alors la notion de progrès. Son ego se renforce plus facilement. Il est prêt à comprendre le co-développement, car il sait que développer l’autre le développe. Il devient moral et engagé.<br><br>Mes notes<br><br>Trouver une, ou plusieurs activités, permettant de favoriser sa raison créative et son bien-être.<br></div>",
"<div>Un cours bien conçu a été demandé par les élèves. En effet, Homo Sapiens ne se comprend que par sa capacité à organiser la société. Le professeur doit alors transmettre les demandes de ses élèves, avec un véritable manuel du citoyen, permettant à lui et ses élèves de renforcer leur ego et les savoirs.<br><br>La poésie<br>La poésie permet de comprendre ses sens. Si on écrit soi-même une poésie, dans un atelier d’écriture, on aboutit directement à une vision de ses sens, que l’on trouve souvent édulcorée au début. S’attacher à ce qui permet d’évoluer donne envie de se comprendre, pour casser les barrières de l’émotivité rendant peureux. À la fin évoluer sera un leitmotiv. <br>Si vous écrivez une poésie et que vous êtes incertains, vous risquez de trouver plus d'assurance, parce qu'en se relisant on s'aperçoit qu'une vérité qui est venue discrètement se révèle à soi. Soit il s'agit de réécrire pour trouver mieux sur cette vérité, soit notre incertitude devient assurance. Si vous écrivez une poésie alors que vous êtes sûr de vous, vous risquez de douter sur votre certitude. La poésie permet donc de trouver l'harmonie, d'accorder ses sens avec ses pensées. On ira alors vers la compréhension de son esprit, par l'écriture, l'architecture et les chansons.<br>Si on cherche la vérité, en imaginant puis écrivant une poésie, permettant de se comprendre soi, on peut trouver mieux qu’une compréhension de soi, c’est-à-dire une réflexion aboutie et optimiste sur soi. On se relit plus tard pour se voir comme un autre. En effet, on aura oublié ce qu'on avait écrit. Puis, on fait lire des écrits choisis. Cela permet d'évoluer.<br>L’écriture et la réflexion platonique<br>Associée à une pédagogie Freinet, mais aussi Steiner, l’écriture, avec une réflexion platonique, permettent de s'épanouir. En cherchant d'abord une vérité, puis sa vérité, puis la vérité, on se comprend soi pour comprendre les autres, afin d’évoluer, pour devenir rationnel. Alors on apprend à apprendre, en apprenant sur soi et sur les autres, et vice versa.<br>Au départ on cherche une vérité, parce que notre esprit ne se sent pas suffisamment impliqué, pour nous aider. Le risque est que l'on veuille avaler toute vérité transgressive, pour finir par renier ce qui est certain et ce qui est scientifique dans notre monde. Les théologiens nous parlent alors du paradis du juste, de la créativité du technicien.<br>Lorsque notre esprit recherche sa vérité, il nous appelle à trouver des réponses à des questionnements que l'on s'est posés, qui sont primordiaux pour notre bonheur et celui des autres. Lorsqu'on trouve un début de réponse, on peut alors ouvrir son esprit, découvrir ce qui est caché derrière, ce que notre esprit veut alors nous révéler, car il crée alors des liens entre les différentes idées sans réponse. Nous avons donc trouvé une idée supérieure, pour notre esprit, qu'il s'agit alors de discuter, avec notre entourage et les autres, pour s'améliorer. <br>Les autres seront attachées à une autre idée de notre esprit, plus primordiale pour eux. On pourra alors élaborer une hypothèse scientifique supérieure, permettant de résoudre des problèmes scientifiquement. La recherche de sa vérité devient alors la recherche de la vérité. Il aura fallu croire en la vie, pour arriver à ce résultat. La sérénité de la religion peut permettre de croire en la vie, pour pouvoir créer cette dynamique de recherche devenant la vérité. La foi et la raison s'unissent alors. Le bienheureux, lui, trouve la vérité avec les autres.<br>Nous devrions tous réfléchir comme des scientifiques platoniciens, pour agir politiquement. Les plus grands découvreurs étaient engagés politiquement. Ils savaient que la politique les influençait. Toute personne civilisée agit en vérifiant des hypothèses, en sachant qui les a influencés. On finit par remettre en cause, en discutant, avec les enfants, une partie de son apprentissage.<br><br>L’histoire de la créativité humaine<br>L’histoire des nations, de la raison créative, du développement et de la paix permet de mieux comprendre le co-développement et les États-Nations. Cette histoire a été éludée pour une grande partie des cours éducatifs. Les français doivent chercher les bases de la France et de la Res Publica, la chose publique, incluant le domaine public, les licences libres maintenant.<br>En effet Mazarin, Colbert, mais aussi Turgot le financier colbertiste, ont été pratiquement effacés de nos livres d’histoire depuis 1791. Pourtant Mazarin a créé la paix sous Louis XIV, en reconnaissant les États-Nations et le co-développement. Cela a nécessité la liberté de commerce, par la suppression des ponctions des seigneurs. La paix de Westphalie par Mazarin a créé une paix durable. Colbert puis Vauban ont été promus ensuite. L’oligarchie a voulu effacer cette mémoire ensuite, en promouvant le libéralisme détruisant les États-Nations. Au XIXe, la France est alors redevenue impérialiste, à cause de Napoléon et de son libéralisme. L’impérialisme ne bénéficie qu’à une partie de plus en plus petite de la population. Le droit à la raison créative a été reconnu en 1848 officiellement en France. Haïti intervient pour la raison créative. Il y a une Révolution d'indépendance en Haïti en 1804. <br>En 2013, Le XIXe est flou, à la fois pour les américains et les français. De la même manière, même les élèves des écoles Jean Jaurès ou Mendès France, ne savent pas suffisamment quelles ont été les démarches de ces politiciens. En Avril 2015, on érige l'algèbre comme une science à polytechnique. Pire, les questionnements sur les 30 glorieuses restent sans réponse, pour beaucoup d'actifs. Les actifs pensent alors que les 30 glorieuses sont dues à la guerre. Par ailleurs beaucoup de politiciens des écoles politisées ne connaissent pas le capitalisme d'état. Ils se réfèrent alors au communisme productif, comme aux États-Unis.<br>Des rois français de républiques monarchiques ont créé le Profit Public, puis le Domaine Public, puis la Res Publica. Ce Profit Public a créé le familistère de Guise, première usine à assurance sociale complète. Les résistants ont alors créé la sécurité sociale, grâce aux industries et à la densité de flux d'énergie prévue du nucléaire. Les handicapés ont alors poussé les français à redevenir citoyens, selon le déterminisme du Conseil National de la Résistance, mené par De Gaulle, reprenant Jean Jaurès.<br>La culture grecque de la beauté, issue de la philosophie religieuse asiatique, permet de comprendre la beauté comme un meilleur avenir. Cet avenir permet l’épanouissement de l’être humain. Sans séparer la beauté de nos sens, nous nous faisons avoir par la culture du court terme. La beauté c’est la beauté de l’esprit et de son mouvement, cette capacité à s'élever, avec des découvertes que l'esprit procure sur nous-mêmes, afin de devenir meilleur grâce à notre recherche de vérité et l'artistique, par l'écriture de poésies et la musique, par la philosophie scientifique.<br>Une telle culture permet d’anticiper l’avenir, de connaître ses droits, comment des acquis ont pu être acceptés par des dirigeants. Aussi, cela permet de connaître ses devoirs primordiaux envers notre civilisation, car le développement c’est l’économie de travail, qui crée une industrie protégée n’ayant pas besoin d’esclaves. Avec l’histoire de la paix et des nations, on devient responsable, humble, militant, humaniste. On s’intéresse à l’économie réelle, l’économie physique, l'économie productive. C'est l'économie physique qui permet les grands travaux, afin d’augmenter le niveau de vie, pour augmenter la population.<br>Par contre, une oligarchie impérialiste n’accepte pas les dirigeants créatifs de l’histoire, ou bien ceux qui pourraient le devenir. Ce genre de société, organisée par le trafic, consistant à acheter pas cher pour vendre cher, selon le rapport qualité/prix, s'autodétruit en faisant pression sur la production. Ces notions permettent encore de favoriser le commerce en 2015, pour acheter les bons produits aux bons endroits.<br>L’architecture<br>L’architecture associée à la géométrie permettent de savoir comment créer une société ou un système. Avec on comprend comment transformer son environnement. On gagne en ingéniosité, en curiosité. L’architecture demande à être un artiste social, malin et créatif. Elle permet de rester créatif, grâce à ses yeux ou à ses mains.<br>Conclusion<br>La suite du livre et l'économie physique vont détailler ces approches de façon humaine, afin de favoriser votre créativité. N'hésitez pas à créer, pendant, puis après avoir lu, ou relu, ce livre.<br>Prenons l'exemple d'un enfant gâté. En général il a envie de détruire, puis de s’accaparer d’autres cadeaux. S’il ne cherche pas la vérité pour évoluer, il détruit son entourage. En 2014, nous sommes dirigés par de grands enfants, qui jalousent ceux qui les dépassent intellectuellement. Ces dirigeants ont décidé de créer une civilisation de l’émotion par le divertissement, à partir des années 1960, dans les pays riches. Cela leur permettait de s’accaparer les ressources pour eux-mêmes, afin de posséder.<br>Quelqu’un qui a une bonne situation n’a pas la nécessité de faire fonctionner sa créativité. Pourtant il y gagnerait. Nous avons été piégés par ce défaut humain.<br>L'Église parle souvent des bienheureux. Quiconque peut être bien heureux, en se satisfaisant des richesses liées à sa recherche de vérité, richesses qui permettent le commerce,  pas le trafic. Le bienheureux favorise la créativité des autres, éveille leur optimisme, associe les êtres de la société. C'est le bienheureux qui construit le mieux la société. C'est le juste qui crée le paradis. Le juste veut respecter les principes de notre société, afin d'évoluer, par la bonté, remettant en cause l'égoïsme.<br>La culture du progrès permet la recherche de la vérité, pour évoluer. La solidarité et la communication se développent plus facilement chez nous, si nous avons à construire. Nous nous sommes développés, parce que nous savons nous remettre en cause en temps de crise.<br>Tout savoir, qui permet d’évoluer, permet à la population de devenir artistiquement rationnelle, afin de devenir responsable, pour faire mieux que l’impérialisme, c’est-à-dire développer l’autre pour se développer soi, mais surtout renforcer son ego, par la raison créative. Grâce à la foi et la raison, la sociabilité peut faire de nous des génies.<br>Il est important d’informer sur la notion d'éternité de notre civilisation, que nous comprenons par cette beauté de l'éternité. Aussi nous préférons nous souvenir des bons exemples, plutôt que des mauvais. L’oligarchie veut nous faire croire que leurs mauvais exemples sont les bons. La finance a transformé la beauté en une simple notion esthétique.<br><br>Sources<br><br>KTO TV<br>http://fidelitemayenne.fr<br>http://fr.wikipedia.org<br>http://www.solidariteetprogres.org<br>http://www.comment-ecrire.fr<br>http://institutschiller.org<br>http://www.schillerinstitute.org<br><br>Mes notes<br>Choisir une activité liée à la musique, une activité d'écriture, une activité de construction.<br></div>",
"<div>Il est facile pour un enfant d'être joyeux, en scrutant son bonheur. C'est, pour beaucoup, un réflexe. Être heureux, c'est se sentir utile, pour réaliser un objectif humain. C'est être récompensé après un effort, notamment en s'épanouissant. Être joyeux, c'est profiter du bonheur. Chez les enfants, la joie est finie donc heureuse, contrairement à l'adulte. En effet, le bonheur dure le temps nécessaire à sa durée. La flamme d'une joie d'enfant se retrouvera à l'âge adulte. C'est ainsi que le bonheur d'un enfant se retrouvera chez l'adulte. La joie de l'enfant fusionne avec le bonheur, parce qu'il ne distingue pas la différence entre joie et bonheur.<br><br>Mes Notes<br><br>Après une joie, tenter d'écrire un sketch ou une histoire drôle.<br></div>",
"<div>L'intérêt collectif est un ensemble conséquent d’intérêts individuels à long terme, où l’on peut même créer de nouveaux droits. Pour que l’intérêt collectif règne il faut que chacun croit en un avenir sain, ce que ne fait aucun média appartenant à la finance en 2014. C’est en pensant à cet avenir, à cette utopie, que l’on cherche la vérité et que l’on critique le système afin de l’améliorer. Or, en début d'année 2015, il y avait un nombre insuffisant de personnes qui s’engageaient vers ce chemin, cette mission.<br>La recherche de la vérité permet de satisfaire son inconscient pour trouver intelligemment le bonheur._En effet c’est avant tout sa vérité que notre esprit cherche inconsciemment. En 2015, ce sont les minorités, les incompris et les faibles qui ont permis de trouver le bonheur par la recherche de la vérité.<br>Dans un monde où l'on ne peut plus se fier à quoi que ce soit, il est important de choisir ses informations. Toute information inutile est à proscrire. La signification du mot crise nous indique qu'il est nécessaire de se remettre en cause soi. La notion d'agrandissement du réseau de connaissances, quelles qu'elles soient, est à comprendre quotidiennement.<br>Quand une société est soudée et qu’elle recherche la vérité il peut se passer de grands événements. C’est au moment où il y a eu le plus de prospérité que nous allions sur la lune. Nous pourrions être dans la même situation aujourd’hui, si tout le monde était suffisamment renseigné sur la vie productive en société, sur l'économie physique et sur la finance.<br>La recherche de la vérité est bien plus forte quand la société a des perspectives d'avenir. Ces perspectives permettent à chaque individu de trouver son bonheur. L’individualisme sert à profiter de la vie en société. Notre comportement a été créé par ceux qui nous ont éduqués. Or chaque nouveau film que l’on regarde va montrer que c’est l’individualisme qui fait la société. Beaucoup sont convaincus par cela et se passent de regarder plus loin. Chacun aura sa propre vision du monde alors que la recherche de la vérité, après avoir critiqué artistiquement la société et son architecture, devrait permettre de converger vers un idéal commun.<br>Les solutions sont dans l'univers. En 2014, les chinois et les russes souhaitent mettre en place la fusion sous moins de trente ans, grâce à l’hélium 3 de la lune, ou bien sur terre avec la fusion entre le deutérium et le tritium. Le Japon s'intéresse à la fusion du deutérium, dans la mer, et du tritium, proche du lithium. La France héberge Iter et le laser mégajoules permettant de mettre en place deux procédés de fusion sur les quatre connus en 2014. Curiosity, un robot plus haut que l’être humain, disposant d’une pile atomique, a été créé grâce à des chercheurs du monde entier, y compris des français pour l'optique, située à Rennes notamment. Il faut de nouveau rendre public et civil chaque secteur important de recherche, afin de voir loin.<br>Si une société est unie elle peut rediriger des fleuves pour irriguer des terres. Elle peut envisager d'aller vers d’autres planètes. En effet être un individu social et créatif c’est ce qu’il y a de mieux pour un être vivant. Alors voyons loin et informons chaque citoyen sur ce qu’il peut et pourra faire.<br><br>Mes notes<br><br>Chercher à transformer votre intérêt individuel, en un intérêt collectif, grâce à l'élaboration de projets coopératifs, permis par votre recherche de vérité.<br></div>",
"<div>L'envie de résoudre des problèmes est en chacun de nous. Cependant, nous ne pouvons qu'évoluer ou régresser. Le conservatisme n'existe pas dans le vivant, parce que si nous ne faisons rien, nous perdons la mémoire. Ainsi quelqu'un qui ne veut plus évoluer voudra détruire, pour que son entourage devienne comme lui, par mimétisme.<br>Il est possible de devenir rationnel et heureux, en favorisant le développement personnel, grâce à ce qui nous sépare de l’animal, la raison créative. Le droit à la raison créative pourrait servir de base pour une nouvelle et simple constitution. Un manquement à ce droit serait un manque à l'éducation ou à la production.<br><br>La culture de la stagnation<br>Dans les années 1970 a été mise en place la culture du divertissement. Cette culture consiste à penser à autre chose, selon sa définition pascalienne. Cette culture a permis de privatiser la création de la monnaie en nous infantilisant, en nous rendant émotif, par un appauvrissement intellectuel et par la drogue. Pour nous diriger vers l'émotivité, l'éducation a été complexifiée bien avant. En nous faisant croire qu'apprendre ne servait qu'à trouver un travail, nous ne pensions pas qu'apprendre de façon créative permettrait de nous épanouir.<br>Quiconque n'applique pas un cours dans son quotidien n'évolue pas grâce à ce cours. Alors l'école n'a plus son rôle moteur d'ascension morale, valorisant notre envie de construire, pour nous permettre d'évoluer, afin de mieux comprendre les autres, en se comprenant soi. Quiconque a cette envie de construire en lui, parce que nous sommes mus par l'envie de résoudre quoi que ce soit. Homo sapiens s'est développé parce qu'il a su résoudre des problèmes lourds, notamment la sécheresse.<br>Cette envie de construire est par ailleurs engagée par la beauté de notre civilisation. Il s'agit d'une appréhension de l'éternité, que permet notre société. Ce sont des représentations, de ce qui nous meut comme des individus sociaux, nous élevant alors au-dessus de l'animal, avec notre créativité. Non seulement nous préférons nous souvenir des bons exemples, mais en plus nous recherchons à comprendre ce qui permet la passion, afin que les autres se souviennent de nous.<br>Quiconque peut devenir passionné, pour comprendre comment fonctionne notre société, afin de l'améliorer. La passion consiste à canaliser une envie forte, pour réaliser quelque chose. La réalisation devient alors un jeu.<br>La société du divertissement nous rend prisonnier de nos sens. Elle nous enlève cette vision du futur, permettant d’anticiper afin d’évoluer, pour notre bonheur et celui des autres. Beaucoup agissent en fonction de pulsions. Ils sont alors poussés vers l’agressivité et la violence, promue par le jeu et la faim, comme sous l’empire romain. Nous méritons mieux que notre destruction. Nous méritons notre propre épanouissement. <br>Les recherches actuelles pour se comprendre n’ont pourtant jamais été aussi conséquentes. Pourtant peu de gens ont un discours rationnel, basé sur une réflexion platonique, qui consiste à évaluer des hypothèses par ses expériences. Une réflexion platonique permet d'émettre plusieurs hypothèses, avec un problème. Ensuite les expériences, vérifiées par notre science, c'est à dire par la capacité à reproduire un événement, nous fournissent une solution. <br>Cette réflexion platonique devrait être utilisée dès l’école maternelle. En effet, l’ensemble des chercheurs n’ont pu trouver dans le passé que grâce à cette réflexion scientifique et civilisée. En effet la réflexion platonique permet de résoudre les problèmes avant qu'ils n'arrivent, en émettant des hypothèses, pour aller au devant des problématiques proposées en 2014.<br>Chacun peut être pris par l'émotivité, pouvant elle-même mener à la confrontation. C'est pourquoi il est important de comprendre ses sens grâce à l'art, la musique et la poésie. Cela nous élève. En comprenant ses sens par une activité créative, on anticipe l'avenir, en devenant un esprit ingénieux et créatif.<br>Beethoven a écrit ses meilleures partitions, celles qui engagent, bien qu'il eût été sourd. Nous pouvons, comme lui, sublimer nos sens et nos liens, pour exprimer la beauté permettant notre éveil. Alors nous pourrons être fier de notre esprit. Aussi nous pouvons devenir responsables de l'amélioration de notre civilisation. Cela fait évoluer. Cela permet notre éternité. <br>L’art<br>L’art dit \"abstrait\" est destructeur. Il ne permet pas de comprendre un tableau facilement. Celui qui regarde un tableau abstrait doit être guidé. C'est inaccessible et imparfait. De plus cet art fait appel aux émotions, car il ne permet pas de réfléchir par soi-même afin d’évoluer. En effet, la réflexion est plus facilement engagée quand on comprend quelque chose, pas quand on passe son temps à deviner.<br>La chute d’Icare de Matisse a été représentée de façon abstraite. On y voit quelqu’un qui tombe. Mais on se demande pourquoi il tombe. Dans le tableau de Bruegel, ci-avant, vous ne voyez pas Icare, seulement sa jambe. Par contre vous voyez la notion de progrès scientifique, qu'Icare n’a pas su maîtriser. Icare a voulu voler plus haut que ce que son avion ne pouvait. Le progrès permet, si on est dans le périmètre de la science, de créer des villes, par exemple. On devrait donc transmettre l’art aux élèves, en leur expliquant que quiconque devrait comprendre un tableau sans guide.<br><br>Liens<br><br>Radio Fidélité<br><br>Mes notes<br><br>Écrire une poésie, pour comprendre ses émotions.<br></div>",
"<div>En 2015, la culture du divertissement, promue par les Beatles sans qu’ils s’en rendent compte, est une culture où la drogue est source d’inspiration, afin d’obtenir plus d’émotions.<br>Les 30 glorieuses<br>Pendant les 30 glorieuses, la culture était certes populaire, mais surtout progressiste et orientée vers l’amour de l’humanité. La culture des 30 glorieuses est, dans les pays riches, une culture du progrès orientée vers le développement personnel, pour le développement national.<br>La faille des 30 glorieuses a été la spéculation sur les problèmes des pays pauvres, même si cette spéculation existait peu au début. Cette spéculation à créé dans ces pays un déficit à l’importation, car ils ne pouvaient avec leurs exportations récupérer autant. Actuellement, La spéculation sur le taux de change variable a fait, au début du XXIe siècle, que la Chine fut dépendante de ses exports. Cela a poussé à l’esclavagisme. Cependant, le dollar a été, jusqu'aux années 1960, une monnaie égalitaire, créant peu de crises.<br>Les 30 glorieuses sont un prolongement de la politique de Roosevelt en France. Il est insinué, dans le livre \"Mon père m'a dit\", de Eliott Roosevelt, que Churchill a fait durer la deuxième guerre mondiale, pour que Roosevelt ne voit pas sa fin. Dès qu’il fut décédé, les forces alliées furent mieux organisées. Les États-unis avaient, 25 ans après Roosevelt, une monnaie égalitaire, permettant aux pays pauvres de s’enrichir, la réserve-or. Le dollar avait aussi une réelle valeur productive, pour quiconque l’avait en sa possession.<br>La population était orientée vers l’engagement. Elle avait l’amour de l’humanité. On contribuait au développement d’une humanité meilleure, grâce aux grands travaux et à la sécurité sociale, en France. Il y avait la joie de réaliser le potentiel créateur. La population était heureuse. Elle progressait, parce que impliquée, citoyenne, fraternelle.<br><br>Fin de la culture du progrès<br>Pendant les années 1970, il y a eu beaucoup d’assassinats. On sait que De Gaulle, un chef d’état des grands travaux, a échappé à différents attentats. Il y a eu aussi l’assassinat de Robert Boulin, un ministre du travail. Aux États-Unis, les Kennedy et Martin Luther King ont été liquidés, ce qui a poussé les américains à croire que la malhonnêteté permettait de se faire une place dans la société. Ainsi, en 2013, François Hollande devient un pion de la finance, parce qu'il ne veut pas mourir, mais surtout parce qu'on lui a appris à faire partie du système.<br>Il n’y a plus cette culture de la métaphore, pourtant présente encore dans les années 1980. Ces comparaisons poétiques expriment la beauté, quand il y a une recherche de vérité. La privatisation de la monnaie a entraîné une mauvaise éducation de la population, où la créativité n’a plus été favorisée. Pourtant, la créativité est ce qui nous sépare de l’animal.<br>La culture du divertissement pousse aux pulsions maladives, responsable de nos maux, car les classes surchargées empêchent le professeur de faire évoluer l’élève, qui devient alors émotif avec la télévision. L’émotivité et la peur créent la guerre. La rationalité et la poésie  provoquent la paix, quand il y a une recherche de vérité, orientée vers le progrès.<br>Nous devrions tous réfléchir comme des scientifiques, pour agir politiquement. Les plus grands découvreurs étaient engagés politiquement. Ils savaient que la politique les influençait. Toute personne civilisée agit après avoir vérifié des hypothèses.<br><br>Les BRICS<br>En 2014, cinq pays se sont associés pour développer le monde. Le Brésil, La Russie, l'Inde, la_Chine et l'Afrique du Sud ont créé une Banque Internationale pour le Développement, contredisant l'OMC. Cette Banque crée de l'argent, pour des projets productifs et internationaux de développement, comme aux 30 glorieuses. C'est ainsi que des pays d'Afrique, d'Asie, d'Amérique croissent leur population, bien que l'occident faillisse à les aider.<br>Mazarin a été effacé de nos livres d’histoire. Pourtant il a créé la paix en reconnaissant les États-nations et le co-développement. La paix de Westphalie par Mazarin a créé une paix durable. L’oligarchie a voulu effacer cette mémoire ensuite, en promouvant le libéralisme et Napoléon. La France est redevenue impérialiste à cause de Napoléon. L’impérialisme ne bénéficie qu’à une petite partie de la population.<br>La culture grecque de la beauté permet de comprendre la beauté comme un meilleur avenir, permettant l’épanouissement de l’être humain. Or la beauté est vue, en ce moment, comme quelque chose de sensitif. La beauté est pourtant indépendante de nos sens. Beethoven a par exemple créé ses meilleures partitions lorsqu’il était sourd. Sans séparer la beauté de nos sens, nous nous faisons avoir par la culture du court terme. La beauté, c’est la beauté de l’esprit et de son mouvement, des découvertes qu’il procure sur nous mêmes, afin de devenir meilleur, grâce à notre recherche de vérité.<br><br>Mes notes<br>Écrivez sur ce que vous attendez de votre nation.<br>Recherchez ce qu'est un état-nation dans le livre de Emerich de Vattel : Le droit des gens.<br>Sommes-nous dans un état-nation ? <br></div>",
"<div>Le Mali a été aidé contre l’intégrisme, pour permettre à la France de posséder une mine d’uranium. Seulement la France n’aide pas au développement de ce pays, grâce aux manuscrits de Tombouctou, en voie de déperdition. L’UNESCO a cependant créé une aide de 7,5 millions de dollars. Espérons que cette aide ne va pas partir que dans la rétribution des ONG.<br>La ville de Tombouctou est une rare ville possédant des saints. Il y en a même 333. Les lieux de cultes, en Afrique, ont longtemps permis de protéger les écoles et les bibliothèques. L’université de Sankoré est dans la mosquée. Al Quaïda, financé par la finance occidentale, notamment celle de Tatcher, a brûlé les livres religieux, car ceux-ci vont contre leurs dogmes. Tombouctou a pu créer un nombre considérable de bibliothèques, surtout des dépôts, car il était dit qu’une civilisation ne pouvait exister que si elle écrivait.<br>On a observé que certains pays sont plus enclins au développement. Le Luxembourg, même si c’est un paradis fiscal, n’a pas d’armée impérialiste. Leurs citoyens ont rappelé, à la population de Tombouctou, que ses manuscrits lui permettent son développement. Seulement cette ville, de 100 000 habitants de 1400 à 1800, perd de la population et s’appauvrit, pour être actuellement à 30 000 habitants. En effet Tombouctou est près du désert. La Chine a mis en place des grands travaux en 2017 pour faire venir de l’eau de l’équateur de l’Afrique. Ses habitants, pour manger, vendent leurs manuscrits, revendus ensuite à prix d’or pour être souvent privatisés.<br>On attend la mise à disposition, pour le public, de 2 000 manuscrits, dont certains sont des traductions arabes de Platon, mais d'autres sont surtout des œuvres de poètes, de philosophes et scientifiques, d'auteurs arabes. Il y a des manuscrits datant du XIème siècle, beaucoup sont du XIVème siècle. Il est très difficile de dater les manuscrits, souvent des copies, car cela coûte cher. En effet, des copies peuvent être créées en même temps que des originaux.<br>Il est possible que l’Afrique devienne une référence en philosophie, si les manuscrits nous révèlent des auteurs, ou idées inconnus. En effet l’UNESCO aurait référencé, on ne sait comment, 300 000 manuscrits. 100 000 sont identifiés. 10 000 sont traduits en français, anglais, arabe. Beaucoup de manuscrits sont écrits dans les dialectes Tamashek des Touaregs, Haoussa pour le commerce, Peul d’un peuple africain sédentaire. Il y a aussi du Sanghaï de Chine, du Soninké, du Wolof. En effet, 30 000 étudiants étaient installés entre 1400 et 1800, pour avoir accès à une bibliothèque, afin d’apprendre le meilleur des civilisations, parce que les manuscrits avaient beaucoup de valeurs.<br>La calligraphie des manuscrits varie d’une région à l’autre, essentiellement à cause du coût du papier ou des peaux. La peau de chèvre était très valorisée. Il y a 7 calligraphies connues pour l’arabe. Dans la zone de Tombouctou on écrivait petit, car le papier et l’encre naturels étaient chers à fabriquer. Ils étaient cependant locaux. En Iran et en Irak, on écrivait beau et large, parce que le papier se fabriquait en quantité.<br>Karim Kahlal, chef de projet d’une mission française, nous indique que le développement est une source de paix et de richesse pour un peuple, disposant alors d’une meilleure qualité de vie.<br>Ahmed Baba est un copiste très connu à Tombouctou. Le centre d’étude de l’UNESCO porte son nom. Espérons que l’UNESCO fera le travail qui lui a été confié.<br>L’état des lieux de Karim Kahlal est éloquent. Il y a une instabilité politique durable à Tombouctou. L’évolution du contexte éducatif est négative, car la politique de création des écoles a été séparée du patrimoine des manuscrits. Les citoyens du Mali ne connaissent pas leur propre richesse culturelle. La méconnaissance de la valeur du patrimoine écrit porte autant sur le contenu que sur la valeur artistique, touristique et artisanale. Heureusement que le Luxembourg a un peu agi à ce sujet.<br>Il y a aussi des conditions climatiques difficiles, un enclavement de la région, des conditions socio-économiques de plus en plus difficiles, une dégradation progressive de l’état physique des manuscrits parce que la population est pauvre, une absence de supports documentaires pour les manuscrits, une faiblesse de la coordination entre les acteurs du domaine, qui crée des pertes de moyens, une absence de cartographie des bibliothèques, d’inventaire, de répertoire des collections réalisé selon les règles de l’art.<br>Cependant il y a eu un festival du désert organisé à Tombouctou. Les stars occidentales ont permis de créer des lignes directes mais temporaires Paris-Tombouctou. Ce festival s’est arrêté avec la guerre.<br>Le patrimoine culturel de Tombouctou pourrait servir à l’éducation, à la culture, au tourisme et à l’artisanat. Il nécessite une conservation, une exploitation scientifique et une diffusion, si possible publiques, selon la législation française  si possible. La législation française des archives respecte très bien les auteurs. Ce patrimoine peut servir au développement, s’il y a une réelle démocratie au Mali.<br>Il existe en 2013 un livre en français sur les manuscrits, de Djian : Les manuscrits de Tombouctou. Mais cherchez plutôt le livre en anglais Timbuktu Manuscripts.<br><br>Sources<br>https://fr.wikipedia.org<br>http://www.tombouctoumanuscripts.org<br>https://en.wikipedia.org<br><br>Mes notes<br><br>Lorsque vous faites des recherches, cherchez à diffuser les informations importantes que vous trouvez, en modifiant des pages du projet wikipedia, ou de tout média participatif, comme Agora Vox. <br>Si le projet n'est pas un wiki libre, protégez-vous en vérifiant que ce que vous diffusez ne vous soit pas enlevé, en choisissant une licence de diffusion Creative Common.<br></div>",
"<div>Nous vivons dans un monde d’apparences, où il est plus facile de tricher, que d’être persuasif. Pourtant le monde ne peut changer qu’avec ceux qui cherchent la vérité, ceux qui sont capables de faire rire les autres, pour prendre conscience de la réalité et de la raison créative.<br>Un soir de 2013, j’ai vu différentes vidéos du groupe Kino Rennes. Ce groupe d’étudiants et de jeunes en recherche active n’est pas encore désespéré par le manque de considération envers le réel talent, celui qui consiste à faire rire avec l’énergie du désespoir, pendant un quart d’heures non stop, avec un sujet aussi désespérant que Pôle-Emploi, cet endroit où on recherche du travail qui n'existe pas. Celui qui avait fait le plus rire était évidemment celui qui avait les yeux perçants. Pourtant cela faisait un bout de temps que le chômage durait avec lui. Mais contrairement à d’autres, il était aussi auteur au sein de l’encyclopédie Wikipedia. Autrement dit, il pouvait faire face au masochisme de la société représentée par Pôle-Emploi. C’est un créatif. Il sait qu’il y a des codes à respecter. Il sait qu’il trouvera son bonheur, dans des recherches, ou en créant des vidéos. Il sait que c’est très difficile d’être pris pour ce qu’on veut faire, mais il va de l’avant et s’adapte. Pourtant il existe une auto-censure dans les médias. Il l’a dit de lui même. Ce mercredi 13 Juin il a été montré en exemple, pour une gloire personnelle, celle d’avoir montré à d’autres que la créativité renforce l’ego et fait vivre une société, en l’occurrence le mouvement Kino.<br>Cette histoire est d’autant plus appréciable que ce jeune en recherche active a pourtant passé les barrières de l’école. J’ai lu dans un livre sur la lecture des enfants que les livres de lecture étaient passés de 400 mots différents à moins de 100 mots différents par livre, avec des images de plus en plus présentes. Le livre démontrait que les images étaient nocives à l’apprentissage de la lecture, et qu’un enfant a soif d’apprendre en s’amusant. Or les livres de lectures prennent les enfants pour des idiots. C’est pour cela entre autres qu'ils n’acceptent pas le système, outre le favoritisme des professeurs envers les élèves s’exprimant, selon les codes demandés par l’école. Un agrégé m’expliquait que l’orthographe non expliquée prenait 1/3 de la note, pour volontairement créer une élite, malléable à merci car peu contredite.<br>Il existe ainsi maintenant un décalage conséquent entre les érudits et la population. Ceux qui cherchent la vérité, c’est-à-dire les minorités, voient que la population malléable se ment à elle même, donc se détruit. C’est pour cela qu’il faut remettre en place la recherche de la vérité à l’école, cette envie de bien faire pour le bien commun, afin de combler les autres, pour s’auto-satisfaire avec autrui. En 2014, la population se rend compte, qu’avec les musiques payantes, où certains interprètes chantent faux, on ne trouve pas son bonheur. La population se rend compte qu’il faut de nouveau comprendre comment sont faits les aliments, afin de rester en bonne santé.<br>Grâce aux meilleurs outils libres, comme les imprimantes 3D, le Jardin Moderne a fait naître le projet Créa’Kids dans les écoles de Rennes, à l’instar des Petits Débrouillards. Le projet Créa’Kids a selon moi un effet immédiat pour les enfants_: Ils voient tout de suite que c’est mieux de créer, plutôt que de consommer.<br>En 2013, les bibliothèques de Rennes n’avaient plus le rôle d’inciter à écrire, mais d’aider à lire. Cela change depuis 2014. Il devient très difficile pour un enfant d’aimer écrire, pour une simple raison_: La société est en train de renier la performance écrite. Les néos-libéraux nous disent, que la performance, ce sont des chiffres, en nous prenant pour les ordinateurs gérant la bourse. <br>Non_! La performance ce sont les mots du dialogue scientifique et la méditation, ensuite écrits pour comparer. Performer, c'est méditer sur notre passion au travail, qui nous pousse à nous impliquer. La performance c’est élaborer des projets le soir, avec l’utopie, pour améliorer le travail du lendemain. La performance d’un professeur s’atteint avec des classes de moins de quinze élèves, avec du temps pour corriger avec des mots, sans les notes. Ainsi le professeur corrige l’élève avec son intuition et ce qu’il sait de l’élève, pour éveiller ce dernier sur les petits efforts à accomplir, afin qu’il trouve maintenant, ou plus tard, son bonheur. Le bonheur favorise la créativité, en renforçant l’ego. En effet trouver le bonheur pour un enfant, c’est bien plus motivant que de se confronter à des barrières, comme le sont les notes élitistes. Les meilleurs professeurs sont plein d’humour ou de vérités, psychologues et philosophes avant tout. Les meilleurs professeurs veulent que leurs élèves fassent mieux qu'eux.<br>Le professeur doit aussi montrer à l’élève qu’il doit adapter sa façon de penser, non seulement à la société, mais aussi au fonctionnement propre du cerveau humain. Notre cerveau est destructeur quand nous abandonnons l’envie d’avancer, car nous sommes des êtres vivants ne pouvant qu’avancer ou régresser. Tout en nous a une durée plus ou moins limitée. <br>Par contre la vie c'est le mouvement. Il faut être créatif pour comprendre la vie, pour comprendre ce mouvement. La vie est une organisation de la matière qui crée l'esprit. Cela veut dire que chaque atome peut amener la vie, de plus en plus perfectionnée. Il est impossible que quelque chose de complexe puisse s'organiser par hasard.<br><br>Mes notes<br>Chercher des activités créatives permettant de devenir polyvalent avec ses écrits.<br></div>",
"<div>Nous avons tous pris des raccourcis dans notre enfance, afin de grandir vite. Pourtant ces raccourcis ont effacé des questions, dont certaines sont importantes. En effet l'enfance détermine notre personnalité tout petit. Si nous allons trop vite nous perdons une partie de notre personnalité. Si nous perdons notre enfance, nous nous détruisons.<br>L’enfant, pour apprendre les rouages de la vie, utilise la réflexion scientifique inconsciente de Platon. En effet, il teste pour savoir. Il émet ensuite des hypothèses avec les autres pour, lorsqu’il dort, lier ce qu’il a vu dans la journée. À la fin une hypothèse s’impose à lui, pour qu'il se mette à parler ou à agir scientifiquement. L’enfant se pose des questions essentielles sur la vie, auxquelles il trouvera ou pas des réponses. Il se rassasiera et s’interrogera, pour aller d’une réponse à une nouvelle question. Les liens se créeront de plus en plus, pour peu qu’il continue dans cette démarche.<br>Jusqu'aux années 1960, l'enfant devait prouver qu'on puisse avoir confiance en lui. Être adulte c'est, en 2014, avoir 18 ans. La robotique prouve que, pour comprendre la créativité, qui est l'atout mental  humain, on demande de comprendre la vie. Autrement dit, la vie et l'esprit sont liés. En effet, l'esprit est l'aboutissement de la vie. C'est tant mieux, car cela veut dire qu'il faut permettre à tous le droit au génie, qui fait des humains les êtres les plus vivants qui soient. On constate que les handicapés sont des génies de nos faiblesses, de notre vieillesse, de notre avenir donc.<br>Nous ne savons pas pourquoi nous vivons, seulement comment s'organise la vie. Si nous ne savons pas pourquoi nous vivons, nous ne savons pas pourquoi il y a la nature, ni pourquoi l'univers permet la vie. Le pourquoi devient alors une question primordiale pour comprendre notre environnement.<br>Il semble donc inutile de trouver le pourquoi selon le comment qu'on a appris, pour ensuite se fier aux ordinateurs. Il faut rechercher la vérité demandée par notre esprit, esprit qui est le meilleur aboutissement de la vie. Il faut tester et élaborer des hypothèses, comme le ferait un enfant.<br>Notre esprit doit trouver les réponses aux questions qu'il s'est posées. Rien de mieux que les hypothèses de scientifiques, basées sur des réflexions scientifiques. Certains enfants et ceux qui réfléchissent scientifiquement essayent de comprendre le pourquoi du comment. Ce sont eux qui éveillent nos esprits, de moins en moins naïvement, s'ils persistent à tester. <br>Ils deviennent complets parce qu'ils s'éveillent sur leurs limites, en cherchant ce qui est induit. Notre inconscient peut nous révéler ce qui est induit, ce que sous-tend notre environnement. En effet, déterminer ce qui est induit permet de savoir si tout est dit, si un auteur est suffisamment honnête avec nous, s'il veut qu'on devienne meilleur que lui. Ceux qui réfléchissent scientifiquement, selon leur recherche de vérité, sont importants, car ils peuvent déterminer un secret compris ou pas de leur esprit. Discuter avec les enfants ou avec des philosophes scientifiques nous interroge, nous fait avancer. Tester sur nos limites peut faire avancer les autres, puis la science. À force de philosopher avec les autres, certains deviennent prophètes.<br>Ce sont les esprits les plus rebelles qui peuvent réaliser de grandes avancées. Ce sont les enfants les plus révoltés, qui peuvent éveiller de grandes passions. Platon, quand il a vu qu'il y tenait de sa vie de ne plus se politiser, a décidé de garder cet esprit socratique qui éveillait les autres. Il a fini par élaborer une façon de réfléchir, pour que d'autres fassent comme Socrate et lui. Cette réflexion scientifique permet de devenir chercheur. Devenir chercheur est aujourd'hui accessible à tous. Nous pouvons tous créer de nouvelles richesses de plus en plus élaborées, en ne produisant par exemple que le matin.<br>Si vous cherchez comment élaborer de nouvelles musiques, il ne s'agit pas de trouver de nouveaux sons, mais de nouvelles mélodies, puis des chants à quatre voix. Vous pourrez trouver ces nouvelles mélodies, en comprenant ceux qui réfléchissent scientifiquement, à leur manière. Pour peu que ceux-ci soient chaleureux, ils pourront déterminer avec nous une façon de réfléchir, une mélodie donc, à écrire dans votre journal.<br>Les secrets de toute création sont dans la réflexion scientifique qui nous porte. Ce qui nous paraît inaccessible, notre esprit veut le comprendre. Il n'y a qu'à suivre le chemin qu'il veut nous expliquer, qui permet de comprendre notre enfance, pour se compléter et compléter les raccourcis des autres. Nous ne faisons que lier entre nous des éléments entre eux. Il reste à lier dans notre esprit, pour que nous sublimions notre économie et la science.<br>Ce sont des découvertes qui nous engagerons dans la compréhension du monde, compréhension qui permettra de créer de nouvelles mélodies. On éveillera alors notre enfance et notre réflexion scientifique. <br>Tester tous les jours vers vos limites permet de devenir le meilleur sur vos limites. Votre talent se réveillera alors, en fonction de votre personnalité, par la passion. Votre esprit vous parle, pour surpasser ce que peut faire actuellement la vie.<br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur votre enfance ou celle d'un autre.<br></div>",
"<div>Connaître la cause première de sa vérité permet de changer sa famille par la vérité que nous commençons alors à distinguer. Cette vérité fait encore plus peur à celui qui la distingue en vous, puisque vous ne connaissez certes pas encore cette vérité découverte, mais celui qui la perçoit se dit soit qu'il ne pourra la trouver que par vous, soit est habitué à avoir peur et voudra vous détruire, parce qu'être habitué à avoir peur, nous on aime ça. On aime avoir l'impression de voir ce qu'on ne comprend pas, puisque cela nous fait croire qu'on comprend ce que l'on domine, pour mieux le dominer. Seulement, avoir peur sans aucune raison particulière fait encore plus peur, donc autant ne pas trouver de raison particulière. Comme cela on aura toujours l'impression de dominer. Donc autant détruire celui qui peut amener à les comprendre. Ainsi il était autorisé par cette logique à aller contre un individu qui amenait la vérié. Il n'y a là rien de nouveau. Certains disaient alors qu'on avait dominé la peur.<br>Beaucoup de français ont un gros remord sur leur propre éducation. Beaucoup reprochent à l'éducation son manque de créativité, qui leur aurait permis une meilleure place. Ils sont ainsi devenus égoïstes, donc libéraux. Par contre ils ont pour beaucoup un ego sous-dimensionné, n'étant pas suffisamment créatifs eux-mêmes. Beaucoup de salariés ne savent pas pourquoi évoluer. Ils reprochent cela au système éducatif.<br>Cependant une bonne partie de la population est créative. On y trouve des enseignants. Il y a aussi des salariés créant de nouveaux produits, ceci en méconnaissant totalement comment ils pourront vendre ce qu'ils auront créés. Ces personnes ont été suffisamment malines pour comprendre le fonctionnement du système éducatif. Elles veulent l'améliorer, ou améliorer la société. Elles savent qu'il est plus important de créer des richesses, que d'avoir une carrière salariale.<br>Mais il y a surtout la créativité du technicien voulant diriger, sans être chef. Beaucoup de techniciens français espèrent diriger sans être des chefs. La France récente a été initiée par la renaissance de De Vinci, l'artiste technicien. Il y eut alors une volonté des rois français de promouvoir le génie de la base, pour promouvoir les techniciens géniaux, Colbert, puis la famille Carnot, afin que De Gaulle le technicien nous permette de retrouver cette noblesse. Vous trouverez beaucoup de techniciens, qui ont perçu le mystère de la société française, par la perception de l'association colbertiste, qui peut très facilement révolter les militants français, si elle est attaquée.<br>Les professeurs de français font souvent appel à la créativité de leurs élèves, sans cependant la favoriser. En effet, il faudrait des classes de 15 élèves, 25 si le professeur est passionné, voire 2000 élèves si on apprend à apprendre, pour pouvoir faire cela. Ainsi, il existe des professeurs, ou instituteurs, qui appliquent leur propre méthode, favorisant la créativité. Ces professeurs n'ont pas accès à une carrière, car ils n'appliquent pas un programme décourageant. En plus ils travaillent beaucoup chez eux pour orienter leurs élèves.<br>Beaucoup de salariés souhaitent améliorer leur entreprise. L'aménagement du bien commun est une intuition chez les français. Les discussions portent souvent sur l'amélioration de l'entreprise. Les salariés utilisent pour cela leur créativité. Certains salariés veulent alors créer un produit ou un brevet. En 2014, la France est au troisième rang mondial du dépôt de brevets. Pour un petit pays c'est étonnant.<br>Ces personnes sont créatives. Elles cherchent à avoir une place dans la société. Elles affrontent un système monétaire basé sur la rente, refoulant le progrès. Ainsi les enseignants allant contre le programme scolaire libéral vont être mis à l'écart. Ces créatifs cherchent, en fait, à faire avancer la société, car ils savent que développer l'autre permet de se développer soi. Ils trouvent leur bonheur en travaillant pour les autres.<br>Beaucoup de dirigeants redoutent ainsi leurs salariés. Eux n'ont fait que copier ce que proposait le programme éducatif. En effet il suffit de répondre correctement aux questions pour avoir son diplôme, permettant de posséder une maison avec voiture. Ce sont les élèves malins et dociles qui réussissent le mieux les études scolaires. Ainsi les dirigeants seront en fait des exécutants et ne connaîtront pas ce qui se fait de mieux en politique, car le système éducatif n'en parle pas. On n'étudie pas l'histoire économique des démocraties et du développement à l'école.<br>Il est effectivement difficile à un pays d'empire de se développer, car un empire fonctionne sur la rente. L'objectif d'un empire est de prendre aux autres, sans créer de nouvelles richesses. Le génie n'est pas reconnu dans les empires.<br>Les créatifs viennent, très souvent, de ceux qui ont eu un problème difficile à résoudre. Cela leur a ouvert l'esprit, par un éveil de sensibilité. Ainsi ce sont souvent les minorités, ou ceux qui ont réussi à résoudre de gros problèmes, que l'empire jalousera. Cette population comprendra mieux les limites de la société. Les faibles peuvent pour beaucoup se penser dans cette population géniale en 2015.<br>Les dirigeants d'un empire auront donc envie de détruire cette créativité, les mettant en concurrence avec leur rente. Ils expliqueront à des personnes, trop créatives, que la créativité n'est pas utile, car le système économique monétaire ne favorise pas le développement. Un créatif est effectivement pour le développement de l'autre ou de son pays, car il pense à son bonheur et à celui des autres. Il sait que le bonheur des autres le lui permettra.<br>Ainsi, depuis les années 1970, sont engagés en France et aux États-Unis une psychiatrisation de la société, une infantilisation de la population avec l'éducation cartésienne, puis la surveillance généralisée. Un français sur trois a ainsi pris un anti-dépresseur, médicament pouvant lui-même rendre dépressif, car adapté aux dépressifs. Les anti-dépresseurs donnent envie de détruire l’autre ou soi, tout en permettant d’enlever des émotions malgré tout. Ils rendent celui qui l’utilise addicte au bout de trois mois. Il s’agit ensuite de jouer de la musique et d’écrire, pour pouvoir s’en passer le plus possible.<br>Ainsi la rente va favoriser l'égoïsme et la destruction. Seulement, il se peut que la majorité de la population demande à avoir accès au développement, proposé par une petite partie de la population. Les créatifs ne demandent qu'à développer l'autre. Si la population demande son développement et le progrès, permis par l'économie de travail, elle peut renverser la tendance. Elle pourrait devenir elle-même plus créative, pour son propre bonheur. La recherche de sa vérité, puis de la vérité des autres, rend heureux. C'est la notion de mission que comprennent de nouveau beaucoup de chrétiens en 2015. Pour devenir créatif il faut utiliser sa recherche de vérité. Si on se révolte sans vouloir se développer soi avec les autres, il sera inutile de remplacer des dirigeants, pour finalement les remplacer par d'autres rentiers.<br><br>Mes notes<br>Écrire sur votre part de créativité.<br></div>",
"<div>Les instruments a vent vocaux permettent de mieux maîtriser le chant sifflé. la flûte a bec permet de travailler les césures. la clarinette fait vibrer la langue. Ainsi votre bouche sera votre instrument portatif.<br>Le solfège tel qu’il est appris ne permet pas de se passionner à la musique. En effet, il est possible d’apprendre la musique en jouant du piano, sans faire de solfège.<br><br>La musique de la chorale<br>Une chorale est très intéressante pour comprendre la vie en société afin de s’accorder aux autres. Les femmes et les enfants ont des voix plus ou moins aiguës, les hommes des voix plus ou moins graves. Nous avons, dans notre corps, des organes permettant d’avoir une voix aussi puissante qu’un haut-parleur. La méthode Belcanto permet d’utiliser ses cavités nasales pour un chant beau et élevé. On obtient des sons harmonieux et puissants. Cela se fera sans forcer, comme le font les solistes d'opéra.<br>Si on a une bonne écoute, on peut découvrir sa voix. Notre voix peut se chanter dans quatre registres de notes différents. À l’enfance, nous sommes tous avec une voix aiguë en Soprano. Ensuite nous allons vers les graves. <br>Son premier registre grave s’atteint facilement, si on s’entraîne à chanter. Son deuxième registre, plus aiguë, nécessite un peu d’entraînement. Mais il est assez facile à atteindre. Le troisième demande beaucoup de travail. Le quatrième est très difficile voire impossible à atteindre. Il peut même casser la voix.<br>C’est ainsi que Verdi, lorsqu’il fut député, a demandé à accorder les instruments, sans tenir compte des parties les plus aiguës du quatrième registre. Il est possible maintenant d’accorder ses instruments au diapason de Verdi à 432 Hz. Cela permet de mieux mettre en valeur la voix humaine.<br><br>Un diapason pour la voix<br>Si vous voulez recréer un souffle d'instrument à vent à 432 voire 435 Hertz permettant mieux le chant, choisissez les instruments à vent français du XXème siècle jusqu'à 1939, ou bien ceux aux environs des années 1960. Seulement il est très difficile en 2015 de trouver un instrument à 432 Hz. Si vous ne trouvez pas ces instruments à vent atypiques, il est possible de les créer. Mais cela coûte cher. <br><br>Le piano<br>Il est possible de jouer du piano sans connaître le solfège, juste l'utilité des notes. Le sol et le do se ressemblent. Ils donnent une impression d'aboutissement. Le fa et le la, qui se ressemblent, donnent envie de continuer la musique. Le ré impatiente.<br>Seulement faites vous conseiller par un professeur pour bien apprendre l'improvisation. D'ailleurs les musiciens adeptes du solfège ne connaissent pas suffisamment l'improvisation, qui consiste à raconter une histoire, avec au moins deux personnes. On peut, sans connaître le piano, créer une histoire, grâce à un partenaire. On comprend alors ses émotions.<br>On peut alors élever son esprit, avec la musique. On peut par exemple créer des partitions sans savoir encore les lire. La passion de comprendre ce que l'on a fait donnera envie de les comprendre. Si on sait que la musique est un ensemble de voix musicales harmonieuses, se parlant les unes aux autres, on peut alors créer sa musique et connaître enfin un instrument de musique, comme un piano. Il est préférable de se faire conseiller auprès d’un musicien, pour acheter un instrument.<br>On peut aussi lier un piano numérique à son ordinateur, avec une interface Midi. On comprend alors ce qu’est une partition, grâce à un logiciel de Musique Assistée par Ordinateur libre et Linux. Un Groupe d’Utilisateurs Linux ou GUL local vous aidera. On vous y expliquera comment diffuser vos créations. Il s'agira, par exemple, de diffuser sur musescore.com avec une licence libre ou semi-libre. Les licences libres sont la continuité du domaine public. Le domaine public fait partie du bien commun, de l'éternité de notre civilisation, pour peu qu'il ne soit pas privatisé. <br>Connaître d'autres instruments que le piano permet d’améliorer ses compositions musicales, sans s'ennuyer avec un seul instrument. Il faut savoir que les partitions à deux mains nécessitent beaucoup de concentration. Elles font vite évoluer notre esprit. Le Prélude et fugue en do majeur de Bach est une partition à deux mains, belle et facile à apprendre. Quand vous connaîtrez le solfège, si vous voulez connaître de beaux accords, les partitions de Bach, à l'esprit progressif, vous aiderons à improviser et à jouer en solfège.<br><br>Les flûtes<br>On peut aussi apprendre la musique en apprenant les notes, avec une flûte à bec. L’intérêt est surtout l’accessibilité. La flûte à bec est l’instrument le plus accessible en termes de prix et d’apprentissage. Achetez cependant vos instruments avec une particularité que vous aimez. <br>Les doigtés d'une flûte à bec se comprennent facilement. Ils permettent même plus tard de jouer avec de la fatigue nerveuse. Les flûtes à bec en plastique ou en bois ne coûtent pratiquement rien. <br>Après avoir appris la flûte à bec, on peut alors passer aux autres instruments à vent de la même catégorie. En effet il est plus facile d'apprendre un instrument fonctionnant de la même manière, produisant cependant des sons différents. On apprend alors la clarinette avec son roseau, la anche, permettant beaucoup de notes, alors accessibles en clés. Sinon la flûte traversière demande un souffle en biseau. Son prix est accessible. Il y a aussi le saxophone non classique. Méfiez-vous aussi du son que produit le saxophone, car il est élevé.<br>Des logiciels libres et gratuits, comme Muse Score et ses plugins, comme Song Write, permettent de transformer des partitions Midi en didacticiels pour les flûtes, les guitares, les batteries, le piano, l'accordéon. En 2015, Tux Guitar est cependant plus facile à installer. Ensuite un logiciel comme Muse Score permet de jouer des partitions de musique, pour comprendre le solfège. Muse Score permet aussi de créer des didacticiels pour piano ou violon. Aussi, vous pouvez avec diffuser vos créations. pour la licence, les auteurs morts depuis plus de 70 ans, 50 ans hors Europe, sont dans le domaine public. Pour installer la création de didacticiels allez voir votre Groupe d'Utilisateur Linux local. N'oubliez pas cependant que la guitare, le piano ou l'accordéon demandent plus de concentration. Par contre cela transforme votre esprit plus facilement.<br><br>Se préparer aux représentations<br>Afin de se préparer à présenter une musique, rien de tel qu'une caméra vidéo avec un pied. Sachez que les moins chers des caméras vidéos sont les appareils photos. Certains appareils photos et certaines caméras font d'excellentes vidéos la nuit. Scrutez les tests de vieux ou récents appareils photos, afin de faire le bon choix, en regardant la qualité nocturne des appareils.<br><br>Les enfants<br>Les enfants ont une très bonne mémoire. Ils comprennent très bien n’importe quelle musique. Ils peuvent donc facilement enregistrer dans leur tête une partition courte. Même si cette partition est très difficile, il est possible pour un débutant d’apprendre à la jouer. En effet les enfants et quiconque n’aiment pas la facilité, car la récompense pour eux ne sera pas suffisante si la difficulté n’en n'est pas une. Les enfants ont un esprit très vif, comprenant très facilement les émotions de tout être humain. Le réseau vénézuélien de musique El Sistema vous expliquera très bien cela. Dans ce réseau, il s'agit juste d'apprendre progressivement.<br>D'ailleurs, beaucoup enfants n'ont besoin que du sens des notes, car ils veulent improviser. Expliquez simplement à un enfant à jouer du piano, instrument peu coûteux, grâce à l'électronique, grâce à ce que vous comprenez vous des notes. Pour vous aider les notes ont été classifiées en octaves et en notes avec demi-notes, appelées dièses et bémols. Jouez des notes pour comprendre où elles vous mènent.<br>Seulement le cours magistral nous empêche de suffisamment nous engager vers cette culture classique de la beauté. Par exemple, des compositeurs, comme Bach ou Verdi, ont créé des diapasons facilitant une culture de la réflexion, par la musique. Nos écoles de musiques, en plus de refouler l'envie de créer de la musique avec le solfège, refoulent ces diapasons, plus adaptés à l'instrument ou au public. Il s'agit de tester plutôt que d'exécuter.<br>Si, comme Beethoven, qui a écrit de belles partitions en étant sourd, nous faisons abstraction de nos sens, pour exprimer la beauté permettant notre éveil, nous sommes heureux et devenons responsables d'une action visant à améliorer notre civilisation, en nous faisant évoluer. <br>C'est lorsqu'un professeur est exigeant et pédagogue qu'il obtient le meilleur de ses élèves. Or en 2014 le bon élève devient un peu un robot, car il répète la même méthode pour apprendre, alors qu'il peut y avoir plein de façons de comprendre un exercice, une histoire. La musique permet d'éveiller la créativité de l'élève. Elle permet surtout de mieux lier et de vivre en société, en utilisant aussi la philosophie.<br><br>Exemples et sources<br>Musique Classique libre et Wilhelm FURTWÄNGLER sur archive.org<br>www.elsistema-france.org<br>www.musescore.com<br>www.framasoft.net<br><br>Mes notes<br>Rechercher une activité musicale coopérative.<br></div>",
"<div>Le chant Belcanto consiste à transformer sa voix en un beau haut-parleur. Cette méthodologie de chant vient d'Asie, les italiens s'intéressant à l'Asie depuis les romains, dont l'élite parlait par ailleurs en grec en son sein. Les pygmées, nom venant du grec, ont créé la symphonie. Les européens ont créé le chef d'orchestre et les instruments baroques.<br>On vous dit qu'il faut aller au conservatoire pour bien chanter. Seulement, vous passerez beaucoup de temps à apprendre le solfège, au conservatoire. Avant de connaître les notes écrites, il est pourtant plus enrichissant de maîtriser sa voix, ou un instrument. Chanter donne de l'envie. Jouer de la musique et dialoguer permettent de continuer à lier dans son esprit, d'une manière différente pour chacun. La passion peut alors venir, si on aime ce qu'on a choisi.<br>Chanter consiste à créer une histoire. On appelle cela l'interprétation. Il s'agit de se laisser aller vers une invention sur ce qui nous parle dans l'histoire de la chanson, chanson que nous comprenons donc. Si on écrit, si on crée, on fait comme si on écrivait, comme si on créait la chanson. C'est à dire qu'on agit pour chanter. Alors notre chant prend de la valeur pour celui qui écoute.<br>Il faut d'abord connaître son registre de départ. On détermine si on est grave, baryton, ténor, alto, mezzo, soprano. Ces registres de voix vont du plus grave au plus aigu. Avec les débutants, il faudra toujours commencer sur le premier registre possible, le plus grave. Il y a les registres graves pour les hommes et les registres aigus pour les femmes, ou les enfants.<br>Pour transmettre le chant en belcanto, il faut connaître le piano et des thèmes. Ces derniers permettent de gagner en puissance. On chante So°°le ou Vi’toria, en montant et redescendant, pour appuyer, puis tenir en haut. Pour monter vers les aigus, il ne faut surtout pas monter sa voix vers le haut de la tête, comme beaucoup de débutants souhaitent faire. Il faut utiliser sa cage thoracique pour amener du souffle. La cage thoracique est le muscle situé au niveau du ventre. Pour tenir, il faut du soutien et de l’entraînement. On travaille alors le staccato. Cela consiste à délier les notes, en utilisant le diaphragme, organe situé en-dessous de la poitrine.<br>Après l'entraînement, on apprend en groupe, puis en canon, pour connaître l'autonomie. Il doit y avoir un métronome, ou un chef d'orchestre. Il existe d'autres exercices, demandant à comprendre son anatomie. Oserez-vous devenir un soliste ?<br><br>Mes notes<br><br>Trouver une association qui apprend par la méthode Belcanto, ou sans solfège.<br>Sinon, parlez de cela à des professeurs de chants de l'éducation populaire.<br></div>",
"<div>Beaucoup d’instruments à vent permettent de ne jouer qu’une seule note à la fois. Cela permet d’apprendre plus facilement. Il y a moins de concentration nécessaire, pour apprendre un instrument à vent. Seulement la représentation nécessitera de la concentration et de la connaissance de soi.<br>Si vous avez appris la flûte à bec à l’école, il existe une sorte de clarinette qui se joue en flûte à bec. Cet instrument s’appelle le chalumeau. Il nécessite un professeur, pour son apprentissage. Il existe sous différents noms en fonction des marques : Saxonett, Xaphoon, Clarineau. Les noms sont des modèles correspondant au son créé, des instruments plus clarinettes que saxophones. <br>L'intérêt du Clarineau est l'utilisation de clés, demandant cependant des révisions de l'instrument. Son inconvénient est la nécessité d'avoir des becs propres à la marque Kunath. Le prix de ces chalumeaux est modique. L'entrée de gamme est à 30 euros neuf, pour le Saxonett, instrument que l'on peut améliorer par des becs de qualité. Ces instruments sont très intéressants, pour les enfants et surtout les filles, parce que légers. Au final, au lieu de n’apprendre qu’un seul instrument, on en apprend trois : La flûte, le chalumeau, la clarinette. Cela permet de ne pas s’ennuyer, de ne pas casser sa clarinette avec un voyage.<br>Ayant joué de la flûte, on apprend alors le chalumeau ou la clarinette. Il n’y a que le placement de la anche et le souffle à connaître. L'anche c’est un roseau qui se place sous le bec des clarinettes. Il produit le son. On recroqueville sa lèvre inférieure sous l'anche et sur les dents. On place ensuite les dents sur le dessus du bec de sa clarinette, là où l'on peut mettre l'autocollant pour les dents. Vous avez, à la page précédente, une clarinette en si bémol. L'autocollant à placer sur le bec permet de ne pas faire vibrer les dents. L’instrument doit être légèrement oblique par rapport au corps, un peu plus oblique pour le clarineau. <br>On peut alors improviser pour apprendre à souffler. Il s'agit de souffler continuellement. On recouvre vite le bec avec le bout de la langue rapidement, afin de jouer les notes non liées. Les notes liées nécessitent de placer les doigts prêts à jouer.<br>On peut aussi, en sachant comment commencer ou terminer des notes, jouer en bœuf, pour mieux connaître son instrument. Le bœuf c'est de l'improvisation. Cela consiste à lier ce qu'on a appris, pour montrer ce qu'on sait faire. On invente ses histoires.<br>Vous passerez beaucoup de temps à chercher l’économie de travail sur votre instrument. C’est pour cela que des cours, seul puis en groupe, sont importants. Ne vous laissez pas aller par la facilité, mais par la simplicité et le lien. Essayez de choisir des partitions avec des notes moyennes puis graves au début, puis ensuite avec quelques passages vers les aigus, où l’on doit jouer plus fort. Cela consiste à ouvrir un trou situé près du bec, esseulé sur le dos de la clarinette.<br>Il s'agit se faire plaisir, afin de mieux se connaître, pour mieux jouer. En ayant choisi vos partitions, vous avez envie d’apprendre plus souvent. Au début il est intéressant de n’apprendre que les montées et les descentes, avec quelques notes. Ensuite, on essaie de passer des notes graves, puis des notes aiguës, puis les deux. Vous faites alors votre moyenne d’une demi-heure par jour, permettant d’avancer.<br>Afin de jouer une belle mélodie, rien de tel que la musique classique. L'hymne à la joie, de Beethoven et Schiller, se joue de plein de manières différentes, avec les instruments à vent. Les canons d'auteurs classiques, de chansons traditionnelles, de gospels, ou de négros-spirituals peuvent être écoutés, pour être compris par la démarche des auteurs, puis appris. Ainsi une voix Ténor ou Alto pourra être apprise à la clarinette en si bémol. La seconde partie de la Toccata et Fugue en Ré Mineur permet de travailler les passages de notes aiguës vers les notes graves.<br>Ne restez pas longtemps à apprendre la même partition, même si c’est intéressant de la rejouer. La diversité donne envie de rejouer. Pour vous concentrer sur ce que vous apprenez, choisissez une partie qui vous plaît, puis jouez sans la partition. On joue mieux, sans avoir à se concentrer sur la partition. Les yeux captent une partie de l'attention, même s'ils permettent malgré tout d'anticiper, plus tard sans doute.<br>Une fois que l’on maîtrise une partition, il s'agit d'en apprendre une autre un peu plus difficile, pas de trop. En ayant choisi vos partitions, vous avez envie d’apprendre plus souvent. <br>On peut alors jouer avec un métronome et sa partition, afin de jouer en groupe ou en représentation. On peut aussi essayer de changer d’octave, en descendant ou montant de 8 notes, voire d’un demi octave, soit 4. On peut tester alors le son et se demander à changer quelque chose, avec son professeur.<br>N’hésitez pas à échanger sur votre méthode, pour inspirer la créativité. Il n’y a rien de mieux que d'apprendre à apprendre. C'est lorsqu'on apprend qu'on est accessible aux débutants.<br><br>Mes notes<br><br>Jouer d'un instrument qui nécessite de la concentration avec un autre plus facile à jouer.<br><br>Page de partitions de l'auteur<br><br>http://musescore.com/liberlog<br></div>",
"<div>Pour écrire une musique, on adapte ce qui nous entoure à notre esprit. On peut commencer avec des objets qui font du bruit. En écoutant une musique, il est alors possible, qu'en pensant à un objet ou une idée, cela inspire la création d'un chant personnel. <br>Alors on tape sur les touches d'un piano, pour inventer une histoire, en ayant en tête les différences entre les notes. Ou bien on crée de la musique sur papier, grâce au solfège, qui consiste à écrire de la musique à jouer.<br>Après avoir entonné un chant, la musique aura une façon d'évoluer, en reprenant le chant d'une autre manière. <br>Cela peut inspirer des poésies ou chants. La poésie et l'écriture permettent de trouver des idées. Au lieu de consommer, on fait évoluer son esprit pour le transformer.<br>La progression d'un chant va vers une recherche de plénitude, avec des notes qui s'allongent, par exemple. On ajoutera des voix associées entre genres, nécessitant un professeur de solfège pour leur création. Quatre voix plus ou moins aiguës, ou graves, permettront de créer une belle musique, pour peu que ces voix s'accordent. <br><br>Mes Notes<br><br>Avec un piano et son manuel, démontrez que la gamme de do est répétée plusieurs fois. Découvrez la similitude entre le do et le sol, entre le ré, le fa et le la.<br></div>",
"<div>L'écriture, avec la conception de chansons, sont des moyens permettant à chacun d'évoluer. Aussi, l'écriture, c'est pour soi avant tout, contrairement à ce qui nous est enseigné en 2013. On regarde ce qu'on a écrit, il y a longtemps, pour se voir comme un autre. On a peur au début. Mais à force d'ateliers d'écriture, on a envie d'évoluer. On crée alors son propre réseau, en fonction de sa recherche de vérité, pour que sa vérité devienne celle des autres. On évolue par les autres, puis, par ses écrits.<br>La société du divertissement, qui donne des émotions, nous rend prisonniers de nos sens et nous enlève cette vision du futur, permettant d’anticiper. L’anticipation permet pourtant d’évoluer pour son bonheur et celui des autres.<br>Beaucoup agissent en fonction de pulsions. Nous méritons donc mieux que notre destruction. Nous méritons notre propre épanouissement. Développer l’autre, c’est se développer soi. On évolue plus vite en comprenant ceux qui réfléchissent différemment.<br>Par contre apprendre grâce à sa propre créativité engage l’élève à dépasser le maître. Créer c’est adapter son esprit à son environnement, pour adapter son environnement à soi. Non seulement on garde trace de soi, mais, en plus, on évolue vite. Sa création permet de s’auto-critiquer et d’évoluer plus facilement. L’élève devient alors très vite autonome.<br>La musique et la recherche de vérité<br>La poésie permet de comprendre ses sens. Si on écrit soi-même une poésie dans un atelier d’écriture, on aboutit directement à une vision de ses sens, que l’on trouve souvent édulcorée au début. Ayant compris ses sens, son esprit peut s’élever pour trouver son bonheur.<br>Lorsqu’on n’accepte pas certaines parties de musiques que l’on écoute, cela veut dire que l’on souhaiterait créer une autre musique. En ayant une connaissance de certains instruments, on peut alors élaborer une musique. Il est nécessaire, alors, de dépasser la volonté de copier, comme on nous l’enseigne.<br>Pour dépasser cette volonté de copier,  on écrit sur la musique, ou sa façon de comprendre la musique. On peut écrire cela en envoyant des messages, ou, mieux, en dialoguant scientifiquement avec ses amis. Sa propre perception du monde permet donc de voir comment on évolue. On crée alors avec sa réflexion. Un style naît.<br>Si l'on veut perfectionner sa façon d'écrire, il est possible d'utiliser des outils qui ont fait la gloire de certains écrivains. Par exemple, la machine à écrire permet d'anticiper pour écrire. En effet, il est difficile d'enlever les fautes d'orthographe sur cette machine. Ainsi, un enfant qui apprendra la machine à écrire avant l'ordinateur saura mieux maîtriser l'écriture. Il comprendra l'importance des mots et de la ponctuation, d'une présentation structurée et soignée. Il se fatiguera aussi beaucoup moins à écrire, voudra mieux comprendre l'origine des mots.<br>C’est son esprit qu’il faut prendre en compte, pas ses sens. On peut par exemple penser que la musique fonctionne comme sa façon de marcher, avec une volonté de plus en plus évidente d’avancer. Comme pour la poésie, on comprend, alors, mieux son écoute. On renforce son ego car l'esprit demandait des réponses à des manques. Si on ne connaît pas le solfège, un piano peut permettre de créer très facilement de la musique.<br>S’attacher à ce qui permet d’évoluer donne envie de se comprendre. Cela donne aussi envie de casser les barrières de l’émotivité, rendant peureux. À la fin évoluer sera un leitmotiv. On peut chercher la vérité avec une poésie, permettant de se comprendre soi. On trouve mieux qu’une compréhension de soi, c’est à dire une réflexion aboutie et optimiste sur soi.<br>Aussi la recherche de ses origines permet de trouver des écrits de cousins ayant une vie similaire à la nôtre. En l'associant à la réflexion de quelqu’un d’opposé, on se découvre sur une autre facette. On peut alors anticiper l'avenir plus facilement. Cette recherche permet de construire une société, ou une famille. Cela résout les problèmes liés à son éducation, pour améliorer ou sublimer l’optimisme et l’histoire de sa famille.<br>Wolfgang Mozart était un surdoué génial. Il avait compris, comme étant sa recherche de vérité, la musique qu'on lui avait apprise. Il est vite devenu passionné. Quiconque peut créer la passion en lui, avec sa recherche de vérité. Plus on attend, plus on perd la capacité à apprendre. On peut à tout moment s'intéresser à quelque chose d'inattendu, ou que l'on veut étudier depuis longtemps.<br>La musique, l’écriture galvanisée par la conception en société et la poésie, la recherche de la vérité et de ses origines, associés à son opposé, sont un ensemble de satisfactions voulues par l’esprit. Elles permettent de nous élever comme de véritables êtres humains, c’est à dire des êtres créatifs cherchant l’éternité de nos actions. Pourrez-vous ajouter une de vos œuvres dans l'éternité de votre civilisation ?<br><br>Mes notes<br>Écrire une poésie. Essayez d'en créer une ballade.<br>Si on veut, publier gratuitement son œuvre sur archive.org.<br></div>",
"<div>Voulant devenir ingénieur, donc ingénieux, j'ai toujours cherché dans mon enfance à savoir comment était créé mon environnement. J'utilisais sans le savoir l'architecture. L'architecture permet d'élaborer de nouveaux objets, de nouveaux bâtiments ou de nouvelles voies, ou d'autres œuvres élaborées.<br>Toute construction parle d’architecture. Le travail manuel intervient aussi dans cette démarche. On peut concevoir grâce à un puzzle, puis un jeu de lego, ou du modélisme, en créant un film, ou en utilisant des marionnettes, en peignant un tableau, ou en écrivant un projet. C'est sa recherche de vérité qui fournit la création que l'on souhaite.<br>Le modélisme permet de distinguer les étapes d'un projet de construction. Utiliser une règle plate permet à la fois de travailler le calcul mental tout en apprenant à tracer des lignes à l'aide d'un plan avec légende. Cela permet de densifier son esprit pour les idées. Il est possible d'élaborer les étapes de tout projet avec cet ensemble. Alors, on conçoit que tous les logiciels sont faits de la même manière.<br>Si on construit quelque chose en s’arrêtant à ce simple projet, on va vers la privation de cette volonté de construire. En effet, construire demande à concevoir. Si on ne conçoit pas, on ne veut pas élaborer notre société. Élaborer la société va ensuite amener à comprendre l'architecture de cette dernière.<br>La société humaine est un ensemble de constructions, éventuellement imbriquées de différentes manières, par assemblages. On peut réfléchir sur l'imbrication des assemblages. C’est la finition d'un projet. Ça permet de construire une société. On peut réfléchir sur les objets imbriqués. C’est de la conception. Cela permet d’aller vers les détails d’une société.<br>Un bâtiment peut être joli mais inutile. Il reste donc à redéfinir la beauté. Les objectifs principaux, de toute construction, sont une imbrication dans la société, afin de répondre à des objectifs sociaux. Une bibliothèque sert à permettre l'ascension par le développement personnel, grâce à sa recherche de la vérité. Une piscine publique sert à ne pas acheter de piscine individuelle, pour faire du sport bon pour le dos et le corps.<br>Si vous construisez quelque chose dans votre vie, posez-vous ensuite la question : « Comment pourrais-je construire tout mon environnement ? ». En effet l’architecture est présente partout autour de nous, avec les bâtiments ou toute création humaine. La construction consiste à être utilisée ou comprise. Il s'agit donc de découvrir tous les jours.<br>En 2014, on veut nous attribuer le rôle de simple consommateur, alors qu’il est possible d’agir en tant que citoyen. La conception de sociétés humaines permet, par exemple, de participer à la vie de son quartier, puis d’envisager des projets de société. Par exemple, concevoir une société m’engage vers la mutualisation et la liquidation de la spéculation, permettant de faire face à la crise financière. <br>Ma solution de la mutualisation, dans un projet d'abonnements Internet à la fibre optique, a été trouvée par une déduction constructive, basée sur l’architecture donc. Cela a consisté à éliminer des choix, par déduction physique ou sociale. Le sens du bien commun permet d'éliminer les choix hasardeux. La solution aurait pu être trouvée par une lecture. Mais je ne l'aurais peut-être pas comprise comme quelque chose d'essentiel. Aussi, il aurait fallu trouver le livre, alors que tout est fait pour empêcher la mutualisation et le protectionnisme.<br>L’architecture a un but social. Concevoir une société demande de la coopération avant, pendant et après le projet créé. Il est donc tout à fait anormal qu’une architecte, s’orientant vers le social, se voit refuser son diplôme. Cela a pourtant été énoncé, par un vieil architecte, sur Rennes, en 2012.<br>Concevoir permet, quand on évolue, de trouver plus facilement de nouveaux repères. En effet, une ingéniosité constructive, visant à améliorer la société, permet d'évoluer grâce à nos recherches et trouvailles.<br>L’orientation, vers l’abstrait de l’architecture, nuit à notre société. D’ailleurs ça crée souvent des bâtiments laids, alors que les architectes sont choisis pour le soi-disant design. Qui n’a pas vu un bâtiment laid dans sa vie ? Voulez-vous agir pour qu’il n’y en ait pas ?<br>Ces constructions, si on cherche la raison de leur création, doivent répondre à des objectifs. Les objectifs de beauté, c'est à dire d'éternité, ne sont pas les objectifs principaux. Pourtant l'apparence est prioritaire dans les écoles. Seulement cela sert en plus à créer quelque chose d'abstrait, nécessitant une explication pour celui qui regarde. À la fin ce sont ceux qui créent qui ne se comprennent plus. On sera alors tenté de donner des noms abstraits à des bâtiments.<br>Si nous montrions que l’architecture permet de construire une société, en proposant des projets à construire, nous saurions les ficelles de nos droits, tout en poussant vers le social, vers la coopération. Qu’attendons-nous pour agir ?<br><br><br>Mes notes<br>Si vous ne construisez pas, créez quelque chose, en cherchant les similarités dans votre quotidien.<br>Critiquez les constructions autour de vous, car beaucoup ont des défauts.<br>Ensuite, participez à la vie de votre quartier, pour construire quelque chose dans la société.<br><br></div>",
"<div>Confucius était un chinois de l'antiquité. Le mot Confucius est sans doute apporté par les juifs. Il est sûrement issu d'une famille qui a fui l'Égypte pillée par les perses. En 2013, il est encore apprécié par la vieille génération chinoise. Confucius explique que c'est l'honnêteté et l'évolution, par la compréhension des autres et de nos faiblesses, qui permettent à la société de se développer mieux.<br>Selon Henry Charles Carey, un économiste américain, notre individualisme dépend de notre vie en société. N'est ce pas notre éducation qui a créé notre personnalité ? Plus nous avons d'activités utiles, pour nous et les autres, plus nos renforçons notre individualisme, venant lui aussi de notre éducation. La richesse de l'individu, c'est donc le dialogue en société, permettant de choisir des activités épanouissantes et productives. Si ces activités responsabilisent, cela permet de mieux s'épanouir. Ce niveau de vie est permis par les industries. Les industries permettent plus d'activités, plus enrichissantes.<br>En effet une activité qui nous est utile nous incite à évoluer. Au départ cela fait peur. Mais ensuite notre esprit va intuitivement pousser sa recherche de vérité un peu plus loin. Notre intuition nous pousse alors à évoluer, vers de nouveaux repères, plus proches de notre recherche de vérité, parce que nous savons que, si nous faisons mieux, nous serons plus utiles. <br>Nous sommes faits pour apprendre, afin d'agir. Seulement l'école ne nous permet pas en 2013 de savoir comment évoluer. Pour comprendre cela il suffit de comprendre le fonctionnement d'un empire, ce que la finance est. Dans l'empire, le conservatisme est de rigueur. Il s'agit de garder ses biens, afin d'en prendre aux autres, ceci afin d'étendre l'empire. Si sa direction et son système ne sont pas remplacés, l'empire implose, comme l'ont fait l'URSS et Rome.<br>Nous nous souvenons mieux des bons exemples. Le confucianisme met cela en avant. L’oligarchie, promue par la finance immorale, est contre ce confucianisme, qui promeut l’ascension sociale, par l’honnêteté et la compréhension des contraires. <br>La compréhension de son opposé permet, à la population, de s’enrichir réellement par le savoir, afin de progresser. Notre économie n’évolue que par notre capacité à utiliser le savoir, afin de se développer.  Un savoir important, bien compris et nécessaire, est une grande richesse. En effet, une richesse, que l'on ne sait pas utiliser, n'en est plus une. Un savoir important expliqué, avec son histoire et ses fondements, est sublimé par la population.<br>Selon Confucius, celui qui est dans l'écoute doit chercher à communiquer, tout comme l'inverse peut être dit. En effet, quelqu'un qui est habitué à écouter veut intuitivement le faire. S'il s'oblige à communiquer avec son contraire, il évoluera beaucoup plus vite, car il comblera plus vite ses lacunes.<br>Celui qui a connu un travail coopératif bien encadré, où chacun fait avancer l’autre, peut comprendre à quoi sert le social, qui est véritablement la coopération entre les personnes. <br>Seulement la coopération entre les personnes doit servir à quelque chose. Elle doit être productive. On peut même espérer l'éternité de sa création coopérative, donc sociale. On aura créé quelque chose qui pourrait devenir éternel, à défendre donc dans notre vie.<br><br>Sources<br>newparadigm.schillerinstitute.com<br>Principes de la Science Sociale, de Henry Charles Carey, dans le domaine public<br><br>Mes notes<br>Trouver un ou une partenaire.<br></div>",
"<div>L’éducation a été complexifiée bien avant que nous n’ayons plus la possibilité d’évoluer de nous-mêmes par l’école. Pour que la population accepte l’impensable, on peut expliquer l’expérience de la grenouille et de l’eau bouillante. La grenouille ne se rend pas compte qu’elle peut y mourir que si l’on chauffe l’eau petit à petit.<br>De même si l’on n’applique pas un cours dans son quotidien on n’évolue pas grâce à ce cours. Alors l’école n’a plus son rôle moteur d’ascension morale, valorisant notre envie de construire chaque jour, pour nous permettre d’évoluer.<br>Nous sommes mus par l’envie de résoudre quoi que ce soit. Quiconque peut devenir passionné. La passion consiste à canaliser une envie forte, pour réaliser quelque chose. La réalisation devient alors un jeu.<br>C’est lorsqu’un professeur est exigeant et pédagogue qu’il obtient le meilleur de ses élèves. Or le bon élève devient un peu un robot, car il répète la même méthode pour apprendre. Pourtant il peut y avoir plein de façons de comprendre un exercice. La géométrie permet d’en trouver beaucoup.<br>La géométrie permet de comprendre l'algèbre. Alors l'algèbre permet de faire de la physique mathématique associée à l'informatique créant des courbes, courbes permettant alors de trouver comment influencer la géométrie, comme l'a fait le mathématicien Souriau.<br>On fait la même démarche entre les matières de façon réfléchie, en cherchant à améliorer des intuitions, confirmées par notre sceptiscisme créant des questions sans réponse, par rapport à ce que font de mieux nos intelligences et la mémoire, nos défauts alors comblés par des chercheurs voulant devenir trouveurs pour l'histoire, pas le carpe diem.<br>Seulement le cours magistral nous empêche de suffisamment engager notre passion. Ainsi, l’arithmétique a remplacé en grande partie la géométrie. Cela fait que les sciences sont déconnectées du réel, car une formule mathématique doit être vérifiée physiquement pour être ajoutée dans une hypothèse scientifique. Ainsi la science va se rendre dépendante des formules mathématiques pour comprendre la matière en infiniment petit. En 2010, on a essayé de réduire la masse à un seul point, qui n'existe que dans la géométrie euclidienne.<br>La géométrie permettrait de réduire fortement la durée des cours, tout en permettant un meilleur épanouissement de l’élève. La formule (a+b)(a+b)=a2+b2+2ab peut être facilement démontrée géométriquement. Vous avez ci-après une démonstration de l’identité remarquable.<br>Vous trouvez des recueils de Gaspard Monge à propos de la géométrie de polytechnique. L'école polytechnique procédait par étapes, pour éveiller le génie humain. Il s'agissait de réaliser l'impensable à chaque étape, par la créativité et l'adaptabilité.<br>Un autre exemple est celui de Gauss, avec une formule toujours non démontrée, mais fonctionnelle. Les scientifiques ont du mal à démontrer de nouveau cette formule vraie. Comment un scientifique du passé peut-il est plus doué que l’ensemble des scientifiques actuels ?<br>La géométrie apprise à l’école est euclidienne. Ce genre de cours débute, en général, en disant que la droite ne peut pas se couper elle-même. C'est faux en physique. Aussi, la droite ne peut exister dans le monde réel, puisqu’il n’y a pas de surface palpable, selon la description euclidienne. L'univers a des parties instables, en effet. Difficile à l’élève de se représenter les éléments euclidiens.<br>On pourrait pourtant utiliser la géométrie constructive. Elle consiste à partir d’une forme, pour en construire d’autres. Par exemple, on construit une parabole et une hyperbole à partir d’une ellipse. On peut aussi essayer de doubler le carré. Avec ce genre de géométrie on peut se faciliter la compréhension d’un exercice. On peut aussi prouver des théorèmes. On pourrait même comprendre la matière en infiniment petit. L'important est que les mathématiques se rapprochent le plus de la physique.<br>Pour aller plus loin les courbes et les zones représentant des équations ou inéquations linéaires nous font croire, soit que le monde se comprend en deux dimensions, soit que l’on ne peut pas résoudre certains problèmes. En effet les économistes aiment montrer des courbes qui montent tout le temps en 2014. Ça ne fait pas travailler l’imagination.<br>Il existe pourtant la possibilité de comprendre plus facilement l’infini de la vie et notre économie avec des spirales logarithmiques. Ces spirales peuvent facilement expliquer l’évolution démographique dans le temps, grâce à la science. Une explication de cette spirale logarithmique est dans la méthode Larouche-Riemann.<br>Vous la trouverez peut-être dans certains livres d’économie. Cette spirale utilise trois dimensions. Cela permet de mieux comprendre certains paramètres de l’économie, basés sur la démographie, c’est à dire le cône. On y représente la création d’énergie avec la spirale intérieure. L’exemple ci-avant est l’évolution d’un monde évoluant correctement en société, un monde démocratique et républicain où les citoyens agissent.<br><br>Sources<br>www.institutschiller.org<br>www.solidariteetprogres.org<br>www.comment-ecrire.fr<br>www.jp-petit.org<br><br>Mes notes<br>Écrivez pour chercher à remettre en cause ce qu'on vous a appris. Critiquez, en essayant de vous remettre en cause.<br></div>",
"<div>Quand on a un gros problème à résoudre, une difficulté à surmonter, il arrive que l'émotion nous gagne. On peut alors tout envisager, le pire comme le meilleur. Seulement, notre acuité est doublée. On prend conscience de ce qui nous arrive. Notre esprit peut s'éveiller.<br>Seulement, il s'agit à ce moment là de trouver l'intuition qui vient de notre âme. Or, l'esprit ne nous dit pas tout de ce qu'il fait. Donc ceux qui n'ont pas utilisé suffisamment leur intution ne peuvent pas trouver leur âme à ce moment là. Sans confiance, pas de croyance. Sans croyance, pas de confiance en l'intuition. Sans croyance en sa bonne intuition, on perd alors sa recherche de vérité. L'âme répond à notre recherche de vérité. Il s'agit donc de chercher sa puis la vérité pour découvrir la vérité de son âme dans l'échec.<br>Historiquement, notre espèce a réussi à comprendre les marées au moment où il fallait survivre. C'est au moment où notre vie est en jeu que nous doublons notre acuité, pour résoudre les problèmes restés en suspend. On peut aussi réaliser cela en éveillant notre esprit par les mains et l'art, en cherchant à obtenir beaucoup d'un élève, qui peut réaliser l'objectif.<br>Les entrepreneurs qui ont réellement créé leur entreprise, avec une intention productive, ont pour beaucoup connu des échecs cuisants. Pourtant ce sont les échecs cuisant qui leur ont permis de s'organiser, car ils ont perçu le mauvais exemple à ne pas suivre. Ainsi, s'ils ont résolu une situation très difficile, ils deviendront des communicants créatifs et de bons gestionnaires.<br>Inutile de vous mettre dans une telle situation. En effet les échecs viendront tôt ou tard. Par contre, testez, expérimentez, dialoguez. Seulement rappelez-vous bien que l'émotion de l'échec devient si forte que vous devenez alerte et plus sensible. Il arrive, même certaines fois, qu'on ne perçoive plus le monde comme avant. On a évolué. On aurait pu pourtant régresser. Notre espèce est capable du meilleur en découvrant ses faiblesses.<br>En écrivant de la poésie, on comprend alors ses émotions. On va alors vers les autres, pour comprendre ce qui rend optimiste, à travers sa recherche de vérité. On peut alors élever son esprit, en lisant du Schiller, du Carey ou du Roosevelt pour s'épanouir avec sa créativité. Avec de la musique, qui fait réfléchir pour agir, on croit alors qu'on peut complètement évoluer vers la cause qui fait vivre, sa recherche de vérité.<br>Dans la préhistoire, à l'époque des premiers hominidés, l'humain a connu une infime population. Cette population a connu des situations difficiles. Elle a dû analyser les marées pour pêcher en Sud Afrique. L'humain est capable de réorganiser complètement sa vie s'il vit une situation difficile. <br>Notre défaut est, par contre, de croire qu'il n'y a rien à changer, quand on se porte bien. On va même soigneusement éviter de réfléchir sur les problèmes qu'on a rencontrés. C'est ainsi. Nous cherchons inconsciemment à nous mettre dans une situation difficile.<br>Plus la situation difficile se vit tôt plus cela vous engage. Votre recherche de vérité va alors vous amener à vouloir réparer certaines erreurs. Certains vont même s'engager dans la défense de l'intérêt général. D'autres vont même militer, quitte à prendre des risques contre le système, avec de bonnes ou de mauvaises manières. <br>La passion permet d'éveiller notre sensibilité, celle qui renforce notre intelligence. Ceux qui sont passionnés sont sensibles à leur environnement, à certains de leurs aspects. Quand on est malade, on peut voir certaines choses plus facilement. Il s'agit alors de méditer pour comprendre cette sensibilité. Par contre, méfiez-vous des moments sensibles, trop durs ou trop longs. En effet, comme tous les animaux, nous pouvons nous en souvenir toute notre vie.<br>Il faut savoir que l'émotion nous gagne quand nous subissons un échec. C'est pour cela qu'il est préférable, pour l'instant, de s'épanouir, plutôt que de se divertir. Se divertir crée de l'émotivité empêchant d'anticiper. En vous engageant dans une démarche créative ou militante, puis en allant vers celui qui peut vous apprendre le plus, celui qui est différent, vous pouvez anticiper les échecs, pour mieux comprendre vos émotions. Rien de mieux qu'apprendre la créativité et l'inconnu, pour se sortir d'un échec.<br>C’est en s’intéressant aux limites que l’on a apprises, que l’on voit un manque dans certaines connaissances. Par exemple, si on a appris un instrument ou un outil, il y a plus de facilité vers un autre instrument ou outil. Les loisirs ou le travail servent à combler nos lacunes, pour mieux anticiper l’avenir. Il est important de pouvoir en profiter.<br>À la fin, on englobe l’ensemble de nos connaissances, pour se former à un nouveau métier. Ceux qui savent et qui ont subi un échec s’épanouissent dans le travail. Mais en plus ils ne le veulent pas comme une contrainte. Ils deviennent de véritables chercheurs de leur bien être.<br><br>Mes notes<br>Certains jours, nous sommes plus sensibles que d'autres. Lorsque votre sensibilité vous le permet, cherchez à comprendre la démarche et la capacité créatrice de ceux qui ont fait face à de gros problèmes face à votre vérité.<br></div>",
"<div><br>Léo Lagrange a prouvé que les loisirs permettaient à la population de mieux travailler, tout en s'épanouissant. Ceux qui allaient contre lui étaient des dirigeants ne semblant pas connaître le labeur productif. Voici une nouvelle démonstration de ce qu'a démontré ce Ministre reconnu.<br>La méditation est très importante dans la prise de décision. Seul un esprit clair et rationnel peut choisir judicieusement. Si vous travaillez sans discuter avec les collègues de travail, vous pouvez, dans les moments importants, avoir de faux jugements, créant alors de grosses erreurs d'orientation.<br>Depuis les années 1970, regardez comment ont fonctionné nos différents gouvernements. Aucune philosophie, peu d'esprit scientifique, une culture du droit les empêchant de prendre des décisions, les incitant à gérer au lieu de développer le pays. Les médias nationaux faisaient alors croire que développer était «_Has Been_» en censurant dès que l'on parlait développement.<br>Une entreprise sans pause perd beaucoup de temps dans sa politique. Elle finit par faire des erreurs monumentales, puisqu'on ne communique plus en son sein. Supprimer les pauses sert surtout à diviser la population, pour que la spéculation continue, afin de toujours servir les mêmes. L'aboutissement de cela est le fascisme financier. <br><br>Mes notes<br>Cherchez le dialogue permettant de comprendre votre créativité, votre volonté de partage de savoirs.<br></div>",
"<div>Il y a un gros problème de compréhension de soi, donc de la société, dans la population. Aussi on répète régulièrement à l'élite, ou à la future élite, le prestige. Ainsi nos ingénieurs et scientifiques ne s'intéressent pas suffisamment à leur propre évolution, parce qu'ils disposent du prestige de leur formation. Ils penseront même que le poste qu'ils occupent n'est pas suffisamment prestigieux.<br>Beaucoup d’adultes de ma génération croient encore aux dessins-animés. On a ainsi vu, dans le journal télévisé, des dessins-animés violents mis en avant. Beaucoup d’adultes croient que les enfants ne prennent pas au premier degré les dessins-animés. C’est le cas si l’enfant voit l’école comme la solution, ce qui n’est que rarement effectif. En effet, on dit que l’école sert à trouver un travail, pas à s’épanouir.<br>Le plus souvent, l’enfant va se référer à ses amis, peut aussi se référer à des dessins-animés. Cela est très dangereux, au vu de la pauvreté intellectuelle des dessins-animés, de plus en plus violents et idiots, avec l’avancée médiatique du libéralisme. Sachez qu'on est méchant avec quelqu'un, rarement contre tout le monde auquel cas la société se séparera mécaniquement de celui-ci, pas par un gentil unique, devenant donc méchant contre cette personne.<br>En 2013, la génération des actifs a connu des dessins-animés plutôt gentils. Seulement quelle était la trame répétée dans ces vidéos ? On répétait qu'une seule personne avait tout le temps raison. Il y avait toujours cet amalgame de la personne parfaite avec une voix d'enfant, qui pouvait même être plus cruelle que les méchants, en les tuant. Les méchants, eux, possédaient une certaine voix.<br>Cela amène chez les actifs beaucoup de comportements déviants. Ainsi ceux qui croient le plus aux dessins-animés du gentil qui combat les méchants voudront éliminer celui qui va contre eux. Celui qui est perçu avec une voix qui sort de l'ordinaire est vu comme un problème. Tout ce qui est anodin est oublié, car les dessins-animés les plus vus ne permettent pas de s'intéresser aux détails d'une société. Cela touche jusqu'à l'élite regardant ces vidéos.<br>La société française est une société où la concurrence joue. Ainsi la population possédant une démarche philosophique, scientifique ou artistique n'ose pas s'exprimer. En effet la philosophie n'est apprise qu'au lycée, alors que philosopher pourrait s'entreprendre dès la maternelle.<br>Aussi la peur de l'erreur fait que l'élève et le salarié se sentent surveillés. En effet le professeur et le dirigeant, à cause de la concurrence, elle même due à notre non-développement, refoulent les erreurs. Ainsi le travail créatif en groupe sera très difficile à réaliser, car les élèves ou les salariés rigoleront d'une proposition mal formulée. Cela crée un environnement d'auto-censure non productif.<br>Enfin, l'élève ne sait pas que la beauté nous est perçue comme une association à l'éternité de notre civilisation, c'est à dire à notre histoire et notre futur. Ainsi une belle œuvre n'est pas technique avant tout. Elle est histoire et démarche avant tout.<br>Il est à noter qu'il est impossible pour beaucoup d'agir, parce que ceux-ci n'écoutent pas de la musique qui fait réfléchir pour agir. En effet on nous apprend à être spectateur, à écouter. Or la musique classique vous engage dans une réflexion, vous rendant un instant inattentif à votre écoute.<br>Souvent les enfants ne retrouvent pas la philosophie ou l'esprit scientifique, demandés par les parents. L'enfant a une conscience dès 5 mois. Il peut dès cet instant avoir une discussion avec ses parents, de plus en plus élaborée évidemment. Seulement l'école n'a pas appris aux parents à se connaître. C'est d'ailleurs pour cette raison que beaucoup se fient plus à la télévision qu'à l'école.<br>Les parents n'ont pas appris à discuter de façon scientifique selon Platon. Cela permet pourtant à l'élève de savoir comment évoluer, s'il comprend aussi ce qu'est le bien commun. Les parents ont un travail souvent répétitif. Ils se replient donc sur l'école, pour élaborer une discussion scientifique et philosophique. On trouve alors des parents déçus de l'école, sans qu'ils sachent les causes de leurs désillusions, qu'ils ont aussi eues en tant qu'élève.<br>Quelques agrégats de cette base sont appris en école d'ingénieurs. Dans ces écoles on érige souvent l'élève en futur modèle pour les autres. Ce début de réflexion scientifique arrive non seulement trop tard, mais en plus il est régulièrement répété qu'il s'agit de prestige, pas de faire avancer la société. Le prestige peut être compris alors de différentes manières, qu'il soit pour soi ou pour les autres. Il s'agit, dans beaucoup d'écoles, de copier les plus grands, ayant utilisé cette volonté depuis leur enfance, sans connaître réellement leur psychologie, ni leur démarche. Autrement-dit l'ingénieur ne peut, avec cette université, devenir un grand, car il part de trop bas. Aussi certains exemples plutôt opportunistes sont de mauvais exemples. La pomme de Newton a d'ailleurs servi à cacher Leibniz, plus réputé à son époque.<br>Non seulement cette école d'ingénieur lui aura caché que c'est le développement qui crée la paix, selon Mazarin et la Grèce démocratique. Mais en plus il croit que sa recherche de vérité lui amène le prestige, alors que le prestige est antagoniste à la recherche de vérité. La recherche de vérité sert aux autres et à soi, alors que la recherche de prestige est tout à fait optionnelle dans cette recherche. Beaucoup des meilleures discussions que j'ai eues avec les autres étaient une  compréhension détaillée d'un problème de la société. On peut expliquer le comportement d'une société entière avec un seul détail de société. Le prestige vise à cacher cette humilité nécessaire. Comment peut-on être prestigieux à 25 ans ? Pourtant celui qui a 25 ans remplace les salariés avec expérience.<br>Les plus grands sont partis de problématiques personnelles qui les ont engagées. Croyez-vous que nous pensons comme eux ? Il faut donc chercher à résoudre chaque problème qui se présente, afin d'éveiller sa conscience endormie par ce prétendu élitisme. Il faut comprendre que ce seront les autres qui parleront de nous quand on ne sera plus là. Il faut se rappeler que nous abandonnerons nos biens forcément. Mais il faut surtout se méfier de ce que notre conscience a accepté, par la répétition.<br>Pour se comprendre soi, il n'y a rien de mieux que la philosophie, permettant de renforcer son ego tout en se méfiant de soi. Si chacun arrive à ne pas développer ses défauts, alors, lorsqu'on ne connaît pas une solution,  en philosophant, en définissant puis en s'interrogeant, on utilise la réflexion scientifique de son interlocuteur. On peut alors renforcer sa personnalité. <br>Le sens du bien commun permet d'éviter des choix hasardeux. Ce bien, opposé au mal, permet d'éviter des choix hasardeux, s'il est commun. Par exemple, on sait que, si la monnaie est publique et nationale, la nation qui possède cette monnaie peut faire beaucoup plus de choses. On pourrait aussi ajouter comme bien commun une santé publique et une sécurité sociale, permises par une monnaie nationale et publique. <br>Notre esprit est alors libéré de nos confrontations d'idées, nous empêchant de construire. Comme les égyptiens définis par les  grecs, nous pouvons alors construire, pour associer nos idées. Pour les grecs, la politique consiste à discuter pour faire des projets. Pour la France, c'est discuter pour qu'ils fassent des projets. Les professeurs nous font comprendre que certains feront les projets et que d'autres les discuteront. Avec cette appréhension permettant d'aborder sur le fond ou les objectifs, nous réfléchissons avec les autres, grâce au dialogue scientifique et philosophique. Nous nous élevons, pour renforcer notre ego.<br>Puis, plus tard, une hypothèse supérieure sur notre ego nous passionnant, permettra de combler nos défauts, afin de trouver un talent des plus beaux en nous. Notre esprit changera, par rapport à cette nouvelle frontière sur notre ego. À force d'évoluer nous aimerons ensuite trouver de nouveaux repères. Nous n'hésiterons plus à créer en public, sachant que l'erreur est permise en politique.<br><br>Mes notes<br><br>Cherchez à comprendre des défaillances de votre éducation, ces raccourcis que vous utilisez et qui vous empêchent d'associer des idées pour mieux réfléchir.<br></div>",
"<div>Il y a des manquements conséquents dans le système éducatif actuel. Cela va de la maternelle au lycée, mais c’est aussi dans les filières cruciales de notre économie.<br>Au lieu de ne faire que dissocier à l’école, il faut aussi associer les idées entre elles. Les égyptiens, définis par les grecs, ont fait évoluer la science en définissant et en associant. Nous ne faisons qu’associer des éléments ou des personnes entre elles. Nous ne faisons que transformer, excepté sur l’énergie.<br>L’humain et l’élève détestent concevoir trop facilement. On est découragé, car il n’y a rien à prouver. L’européen n’aime pas montrer qu’il ne sait pas. Il n’aime donc pas les cours trop abstraits, où il est difficile de se rapprocher de son quotidien. Il aime par contre résoudre un problème qui lui semble difficile, parce qu’il aime montrer qu’il sert à quelque chose.<br>Selon le film \"Ce n’est qu’un début\", on pourrait apprendre à l’élève de maternelle à philosopher, sur des thèmes du quotidien. En effet l’enfant a un jugement dès six mois. Il peut donc discuter avec un adulte, dès qu’il sait parler. L’institutrice, quant à elle, peut lui apprendre à devenir un citoyen en philosophant avec sa classe, ce que notre oligarchie redoute.<br>La liberté ça fait peur. Ainsi beaucoup écoutent. Ils savent que les institutions ne répondent pas exactement à leur questionnement. Ils veulent pourtant se surpasser, pas avec ce qu'ils entendent souvent. Cependant, les enfants les plus âgés aimeraient garder leurs repères. En effet, les médias leur proposent de penser au passé. L'avenir serait d'avoir 18 ans, pour faire ce que l'on souhaite, mais quoi ?<br>La passion servira donc à combler cette peur. Il s'agira de comprendre la société, afin d'agir dans la société, pour se comprendre. Un ami nous aura suffisamment fait évoluer, parce que différent. Un jour, une hypothèse supérieure et la musique auront transformé notre esprit, grâce à la politique. Nous pourrons alors devenir des conseillers pour les autres.<br>L’enfant aime entendre de la musique. Il peut facilement retenir des paroles. Il est possible d’apprendre le chant, mais aussi un petit instrument de musique, dès la maternelle. Le travail manuel, associé à l’apprentissage, permettent de transformer un esprit, afin de s'intéresser, d'être constructif et sociable.<br>En primaire, il est possible d’apprendre la réflexion scientifique, telle que l’a conçue Platon. En effet, la Science est la seule matière pour laquelle on ne peut choisir, juste découvrir et expérimenter, afin de définir pour associer. On peut devenir un génie avec la réflexion scientifique, en cherchant sur les limites de l’humain.<br>En primaire il serait possible de commencer à apprendre l’économie réelle. Il ne s’agit là aucunement de l’économie monétaire, qui est faite pour croire que l’argent est un but. Il s’agit d’apprendre à l’élève comment fonctionne la société, selon les principes sociaux et scientifiques énoncés par Henry Charles Carey. Par exemple, on pourrait apprendre pourquoi il y a des écoles, quels sont les métiers cruciaux. Il existe les métiers techniques ou scientifiques. L'intérêt général sera encore plus important pour des métiers pouvant parasiter notre économie, notamment les métiers dont le but est de nous individualiser. On peut citer le trading et le broking, la finance.<br>On pourrait aussi apprendre, en fin de primaire, la géométrie par les pliages. La géométrie permet de comprendre jusqu’à l’infiniment petit. La géométrie constructive permet aux élèves de concevoir une architecture. On peut commencer à intéresser l’élève à concevoir quotidiennement la société qui existe autour de lui, en petit ou en grand.<br>Il faut enseigner les limites de l’humain au collège et au primaire. L’élève se demande le pourquoi à cette époque. Le pourquoi, c’est la recherche de vérité. Le pourquoi, c’est la démarche scientifique. Le pourquoi, c’est comment construire une société, selon l’architecture.<br>En collège, certains cours d’ingénierie, notamment en communication, en économie physique, pourraient permettre à l’élève de s’organiser à l’écriture. Il faut que l’élève évolue grâce au professeur, avec ses écrits. Cela nécessite des classes de 15 élèves, pour ne pas surcharger de travail le professeur. L’élève comprend les mots qui vont sur ses limites, pas les notes, souvent arbitraires.<br>On pourrait au collège transmettre les démarches des grands scientifiques et industriels, ceux qui ont changé radicalement notre vie. Ils ont augmenté notre niveau de vie pour augmenter la démographie, selon le potentiel de densité démographique relatif. En effet, certaines inventions, permettant d’améliorer notre niveau de vie, ont été cachées. À partir de 1960 le thorium-uranium permet des centrales stables, s'arrêtant sur demande, brûlant des déchets de l’uranium. Il y eut aussi la mauvaise direction financière de la fusion thermonucléaire contrôlée à l'hydrogène. Il y eut aussi la mauvaise vision non industrielle sur l'espace notamment. Il s’agit aussi du silicium organique, qui permet de régénérer nos tissus et os. Il nécessite une bonne hygiène de vie, pour mieux sentir son corps. De 2011 à 2018, la spéculation a empêché la diffusion des écrans réflectifs. Ces écrans permettent de beaucoup moins fatiguer les yeux, en n'émettant aucune lumière. Le potentiel a été mal utilisé. Les lobbies nous individualisant sont intervenus.<br>Au lycée, la géométrie est trop délaissée. On pourrait terminer l’étude des limites de l’humain, avec de la pratique. On pourrait apprendre à gérer un état industriel, à protéger facilement les industries. Cela ferait monter l’esprit patriotique. On ne parlerait plus de licences libres, nécessaires pour diffuser, au moment d'une récession, ou lors d'un développement. Mais on parlerait réellement du domaine public, qui n’existe que si un État-Nation se développe. On étudierait pourquoi les lobbies ont cassé notre potentiel de densité démographique relatif.<br><br>Sources<br>Alors vous voulez tout savoir sur l'économie ? Lyndon Larouche<br><br>Mes notes<br>Retracez votre parcours scolaire.<br></div>",
"<div><br><br>On m'avait appris que réussir à l'école consistait à avoir un esprit bien fait. Ça n'est pas ce que j'ai constaté. Alors s'agit-il de réussir à l'école ou de réussir dans la vie_?<br>La connaissance, ça fonctionne comme un réseau d'amis. On ajoute en fonction de ce que l'on connaît déjà. Si une branche de notre connaissance faillit, le reste de la branche est remis en cause.<br>Pour réussir, dans le système éducatif actuel, il suffit de savoir répondre aux bonnes questions, au bon moment. Il faudra donc lire et écrire, autour des livres servant de base au système éducatif. Il suffit de demander au professeur qu'on estime les lectures qu'il recommande.<br>Cela paraît étonnant qu'il ne faille que répondre aux questions. Mais c'est bien comme cela que fonctionne notre système éducatif. Il garde encore des traces de Jules Ferry, celui qui avec d'autres a conduit à la première guerre mondiale. Notre système éducatif a gardé la dissociation, base de l'apprentissage selon Jules Ferry. <br>Pourtant notre économie fonctionne avec l'association. Ce seront donc les élèves qui associeront dans leur esprit, qui auront un esprit souhaité économiquement. Pour associer, la musique permet de densifier l'esprit. On remarquera qu'il y a maintenant un peu de philosophie en maternelle. Aussi la méditation et la philosophie permettent de devenir citoyen en renforçant son ego. Si vous avez l'impression que votre intelligence n'est pas utilisée à l'école, utilisez la ailleurs.<br><br>Mes notes<br>Écrivez le périmètre de vos connaissances...<br></div>",
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