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User : hednacluml ( 122243)
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"<div>C)  Écrire<br><br><br>Quand notre esprit est surpris par quelque chose d'inattendu, il s'intéresse inconsciemment à cette surprise, à cet événement. Celui-ci nous prend alors dans une pleine réflexion. Toutes nos émotions créent alors une volonté de comprendre l'inhabituel. Cette surprise nous turlupine. Elle crée en nous la passion. Il ne faut alors plus arrêter cette volonté de comprendre. La passion doit rester. Il faut écrire pour mieux se souvenir et se comprendre, afin de chercher de nouvelles voies. Ces voies permettent alors de lutter contre des manques, que l'on souhaiterait combler.<br><br>Écrire c'est s'évader, réfléchir, triturer l'esprit pour sculpter son ébahissement, son énergie, un éclair de génie. Le lecteur nous interpellera toujours à l'envers de ce que nous aurons pensé, parce que son envie sera de nous comprendre. Le lecteur est notre épanouissement. <br><br>Nous réagissons peut-être comme un enfant au regard de notre ébahissement, de notre éclair de génie. Mais il ne faut pas qu'il soit présomptueux ou incohérent. Il fallait que l'énergie qui servit à écrire fût humble.<br><br>Quand je suis étourdi par ce que j'écris, certains lecteurs s'arrêteront de lire cela. D'autres qui penseront à ma façon de faire seront, peut-être, eux aussi étourdis. D'autres imagineront des événements qui n'auront aucun rapport avec ce que j'avais proposé.<br><br>D'autres par contre essaieront de savoir ce qu'il y a derrière les images qu'ils imaginent. Ils verront ce à quoi je n'aurais jamais pensé. Certains iront plus loin. Je serai à leur écoute. Ils me donneront une recette pour mieux faire. Le mieux-faire est l'envie qui permet d'écrire. Il y a certes l'imagination et son avis. Mais écrire sert à comparer et à vérifier ce que l'on pense.<br><br>Ce que l'on pense au départ est rarement vérifié. Ce que l'on veut ensuite plaît à certains et déplaît à d'autres. Ce que l'on pense, à la fin, permet d'élaborer ce qui amène le lecteur à un avis qui n'a pas été le sien.<br><br>On peut utiliser l'effet de surprise, la cohérence, ou bien la fougue. L'allégeance ne nous valorise pas. Le substitut à quelqu'un d'autre nous aide peu. L'éveil c'est la fraîcheur. L'humour c'est l'atout maître, pour expliquer n'importe quoi. <br><br>Nous sommes tous conçus de la même manière. Mais au final aucun n'a envie de ressembler à l'autre. L'imagination nous porte à chaque instant. Notre avis nous tient. La cohérence est ce que l'on cherche.<br><br>L’auteur a raison monétairement d’orienter vers l’émotion. Je préfère l’épanouissement qui permet réellement d’être heureux. On peut faire croire que l’émotion rende plus heureux. Plus heureux signifie plus de plaisir, parce que on est juste heureux pour le devenir. Découvrir la vérité peut faire peur donc dire qu’on peut être plus heureux empêche le bonheur, puisque la vérité peut rendre heureux après en avoir eu peur.<br><br>On cache ensuite certains de nos mots par des synonymes, qui ajoutent du sens à ce que l'on écrit. Certes, ces comparaisons intéressent le lecteur. Mais ce que l'on pense autour de ces mots est bien plus important. Ce que nous pensons à l'instant, peu le pensaient de la même manière.<br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur ce qui vous fait rêver, en vous disant \"si\"...<br></div>",
"<div>1)  Écrire c'est quoi ?<br><br><br>Lorsqu'on écrit, on se rend compte de ce que l'on pense. On retient en général presque tout ce qu'on écrit. Donner son avis permet donc de retenir ce que l'on a entendu ou vu.<br><br>Quand on observe, on retient plus facilement le monde autour de soi. Mais, alors, à force d'écrire, on compare ce que l'on trouve avec les œuvres d'autrui. L'écriture n'est utile que si elle est lue par d'autres. On hésite au départ, mais, par bienveillance, on s'évade vers une autre vision. <br><br>On observe encore, puis on écrit afin de découvrir cette vision. On se rend compte que cela ne suffisait pas. On communique, alors, ce que l'on a fait. Ainsi on s'exprime avec ses projets. On évolue aussi de plus en plus vite. On devient imbattable et communicatif.<br><br>Quand on aime parler, l'écriture permet d'avoir des choses à dire. On comprend les éléments les plus importants rapidement. Mais découvrira-t-on un jour les secrets de ceux qui observent ?<br><br>Alors on cherche, puis on Trouve des partenaires, pour créer le contenu. On les félicite plus qu'il n'en faut. En effet la communication vers autrui est aimée avec de la technique. Le fond est le plus important.<br><br>On aura eu une vie riche de vies et de contenus à lire, à se souvenir. On sera celui qui dit et qui sait, afin de rendre compte du passé, pour un meilleur avenir.<br><br>Mes notes<br><br>Écrire, si vous le souhaitez, sur ce qui vous mène à l'écriture... <br></div>",
"<div>2)  Trouver à écrire<br><br><br>L'imagination nous donne envie d'écrire. Pour avoir de l'imagination, il suffit de réfléchir à une situation qu'on souhaiterait vivre. On pense inconsciemment comme cela quand on ne fait rien. On écrit donc quand on a rien à faire d'autre. <br><br>Après avoir pensé vient l'inspiration. Cela peut être une réponse à une question passée, mais, quelquefois, notre envie de changer les choses nous dicte quelque chose à nous remémorer. On peut alors élaborer une histoire ou un projet, avec cette envie, en la détaillant.<br><br>Avoir un avis permet de se différencier. Nous filtrons tout ce que nous sentons, voyons et entendons. Alors, se rendre compte que tout le monde  a un avis, permet de comparer. L'histoire est quelque chose d'utopique, un rêve. Le projet est soumis au jugement d'autrui. <br><br>On peut mélanger projet et histoire, si son projet est trop flou. L'histoire permet d'insinuer que le projet vient d'un autre. Alors on met en place des personnes qu'on a vues, en les décrivant d'après ce que l'on voit d'elles. Si notre avis évolue, vers une vision étayée, nos histoires deviennent plus réalistes.<br><br>Certes, notre imagination nous dépasse parfois. Le lecteur doit lui aussi être dépassé par notre imagination, en y ajoutant de la réalité, du quotidien. Comme cela le lecteur ne croit pas à un rêve, alors que celui qui écrit imagine toujours un peu son histoire.<br><br>Mes notes<br><br><br>Qu'est-ce que j'aime écrire ?<br>N'hésitez pas à l'écrire...<br></div>",
"<div>3)  Aimer écrire<br><br><br>On aime écrire parce qu'on écrit pour soi. Nous sommes toujours moins performants quand nous ne faisons pas ce que nous voulons. Cependant, à force de ne pas écrire par envie, on peut, si on connaît sa technique, pallier à cette incertitude empêchant d'être clair. On peut tenter de connaître sa technique. L'incertitude peut questionner le lecteur. En s'améliorant on écrit bien même dans l'incertitude.<br><br>Si peu d'envies nous guident, se mettre en situation, s'interroger ou se questionner permet d'avancer. L'incertitude peut être une façon d'écrire, un style.<br><br>On s'intéresse aux autres parce qu'on se comprend mieux. On ne le fait pas au début, mais l'envie et notre questionnement permettent d'explorer ce que nous ne connaissons pas.<br><br><br>Mes notes<br><br>Quand est-ce que j'aime écrire ?<br></div>",
"<div>4)  Qu'écrit-on en général ?<br><br><br>On écrit :<br>    • Des émotions, souvenirs, et appréhensions.<br>    • L'image de ce qu'on est ou perçoit.<br>    • Ce qu'on pense, son avis.<br><br>On n'écrit que ce qu'on a perçu ou ressenti, grâce à son avis. Ce dernier permet de ressentir nos souvenirs, notre environnement.<br><br>Ensuite, savoir transmettre son message permet d'être compris. Il faut donc trouver un exemple en l'imaginant et se dire \"si...\". On peut aussi le chercher, en sortant, en voyageant ou en lisant. <br><br>Mes notes<br><br>Écrire une lettre pour soi...<br></div>",
"<div>6)  Le mot<br><br><br>Lorsqu'on écrit on définit. Si on utilise les mauvais mots, le discours devient inaudible.<br>Un mot c'est :<br>    • Des sons ou des lettres.<br>    • Une histoire ou un secret.<br>    • Une signification, le sens du mot.<br><br>En effet les mots existent depuis la préhistoire1. Au début, seuls les chiffres existaient, pour commercer. On pense que l'oisiveté a permis de créer les mots. <br><br>Les mots n'étaient donc au début que des sons. L'histoire de chaque mot possède donc indéniablement un secret. La signification du mot s'arrête au moment où l'écriture l'a oubliée. <br><br>Un mot c'est peut-être :<br>    • Une association de mots.<br>    • Un objectif, une entité, une action, une personne, un objet.<br><br>Une nouvelle signification devient une utilisation d'un ancien mot, d'une autre langue, ou bien une association de mots. Les voyageurs ont permis ces nouvelles créations. La localisation a créé les langues et les cultures, un ensemble de mots et de coutumes d'une communauté.<br><br>Se renseigner sur l'histoire d'un mot2 permet d'ajouter du sens à son texte. Ensuite on précise le sens de son texte, avec les nouveaux mots trouvés.<br><br><br>Mes notes<br><br>Reprendre un texte et trouver des synonymes, ou ajouter une histoire sur des mots...<br><br>Vous pouvez vous aider d'un traitement de textes disposant d'une recherche de synonymes. Vous pouvez chercher le sens sur un dictionnaire électronique ou papier.<br></div>",
"<div>7)  La phrase<br><br><br>Une phrase nominale c'est :<br>    • Un mot central.<br>    • Des phrases verbales autour ou un dialogue.<br>    • Une métrique – Les syllabes.<br><br>Une phrase verbale c'est :<br>    • Quelqu'un ou quelque chose – Le sujet.<br>    • Une action – Un verbe.<br>    • Une qualification, un objet – Le complément.<br>    • Une métrique – Les syllabes.<br><br>Une phrase c'est peut-être :<br>    • Une explication – \"C'est..\"<br>    • Une relation – \"Oh, c'est bien !\"<br>    • Une sensation – \"J'aime...\"<br>    • Une musique – \"Il pleut, il pleut bergère.\"<br>    • De l'humour –  \"Lire c'est délire.\"<br>    • Utile – \"J'aime l'amour.\"<br>    • Du temps – \"Vous perdez votre temps.\"<br><br>Donner du sens à une phrase permet d'enrichir ses textes. Ainsi, en l'étayant, on recherche à trouver le rythme. <br><br>Pour que le lecteur comprenne plus facilement, on utilise des phrases simples, qui possèdent :<br>    • Un sujet.<br>    • Un verbe.<br>    • Peut-être un complément.<br><br>Pour que la phrase devienne complexe, on ajoute, à la proposition principale, plusieurs propositions subordonnées. Le lecteur peut refouler ce genre de phrases. <br><br>Avoir écrit des poèmes, la musique permet que ses phrases aient une rythmique harmonieuse. Le mieux est de s'enregistrer en lisant ses phrases, puis de s'écouter. Avoir en tête un rythme permet de comprendre le lecteur.<br><br>Une phrase complexe peut posséder :<br>    • Une proposition subordonnée relative, comme un adjectif mais avec un verbe.<br>    • Une proposition subordonnée conjonctive d'objet, des paroles sans les guillemets introduites par \"que\".<br>    • Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, comme un nom complément circonstanciel mais avec un verbe.<br><br>Il existe plusieurs compléments circonstanciels, de temps, de manière, de lieu, direct et indirect. Il y a aussi le complément du nom.<br><br>Voici un exemple de proposition subordonnée relative :<br>    • J'aime celles qui adorent.<br><br>Utiliser un verbe en fin de phrase permet d'accentuer l'émotion sur la proposition subordonnée.<br><br>La même phrase plus courte :<br>    • J'aime les fans.<br><br>Une phrase courte est mieux comprise.<br><br>Voici un exemple de dialogue :<br>    • J'ai dit : \"Je suis drôle.\"<br><br>Ici le dialogue est mis en valeur. Cette phrase est ici plus accessible, puisque qu'elle retranscrit le dialogue, donc elle permet de ressentir du mouvement.<br><br>Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive :<br>    • J'ai dit que j'étais amusant.<br><br>Dans une histoire, utiliser des dialogues permet de donner de la réalité. On utilise la proposition subordonnée conjonctive lorsqu'on analyse ou explique.<br><br>Voici un exemple de proposition subordonnée conjonctive circonstancielle :<br>    • Je suis chez mon amie, où je m'amuse.<br><br>Là aussi on insiste sur la proposition en fin de phrase. Cette proposition permet de généraliser sa phrase.<br>La même phase plus précise sans proposition subordonnée :<br>    • Je m'amuse chez mon amie avec ses jeux.<br><br>Si on utilise une proposition on peut être moins précis. C'est pourquoi, rechercher l'objectivité, ou le sens, permet de trouver les meilleures phrases.<br><br><br>Mes notes<br><br>Créer une histoire en reprenant les débuts de phrases exemples.<br></div>",
"<div>8)  Les phrases<br><br><br>Ajouter des phrases à un texte doit se faire avec les procédés disponibles. Connaître ce dont on a à disposition, mais surtout savoir ce qu'on utilise le plus, permet de donner du sens à ses textes. <br><br>Des phrases, avec un rythme et de la créativité, permettent de créer de longues histoires. Encore faut-il que l'histoire informe le lecteur ou soit objective. <br><br>Au départ seuls certains lecteurs apprécient certaines de nos histoires, parce que nous écrivons surtout pour nous.<br><br>Des phrases ce sont peut-être :<br>    • Un dialogue.<br>    • Un poème.<br>    • Une chanson ou ballade.<br>    • Une histoire.<br>    • Une narration.<br>    • Une description ou analyse.<br>    • Une information ou explication.<br>    • Un texte injonctif.<br><br>Un dialogue c'est :<br>    • Un discours direct.<br>    • Des changements d'interlocuteurs.<br>    • De la ponctuation avec des guillemets ou tirets.<br>Un poème c'est :<br>    • Un retour d'éléments semblables : Les sons, un nombre de syllabes, une structure grammaticale, des mots, vers ou groupes de vers.<br>    • Des glissements de sens ou métaphores.<br>    • Des formulations ou associations inhabituelles, des créations de mots.<br>    • Une mise en forme graphique.<br>    • Une reprise ou refonte de textes connus ou d'expressions usuelles.<br>Une chanson est de la même forme qu'un poème avec :<br>    • Plus de répétitions.<br>    • De la musique qui peut prendre le dessus.<br>Une chanson se construit autour d'une musique. Ou bien, avec du solfège, on crée des notes, en fonction du rythme des phrases, avec son émotion. On peut se faire connaître avec une simple chanson écrite sur le vif.<br><br>Une histoire possède :<br>    • Un scénario.<br>    • Des personnages : des noms et des rôles principaux ou secondaires, des caractéristiques physiques ou morales.<br>    • Un héros réel ou fictif.<br>    • Le cadre chronologique du récit : La durée de l'histoire, le moment pendant lequel l'histoire se déroule, les épisodes développés ou simplement mentionnés.<br>    • Les lieux du récit : réels ou imaginaires; précis ou imprécis.<br><br>Une histoire permet de mettre en valeur la créativité. On favorise sa créativité et celle d'autrui. Un dialogue donne du sens à la situation que l'on essaye d'expliquer. Si on donne un exemple, un dialogue est bien venu.<br><br>Une narration possède :<br>    • Une focalisation ou un point de vue - Qui raconte ?<br>    • Du présent pouvant servir de futur, un passé composé-imparfait ou plus-que-parfait, un passé simple-imparfait ou plus-que-parfait.<br>    • Une chronologie.<br>    • Des pronoms.<br><br>Un poème montre son émotion. Mettre en valeur son ressenti permet de garder en mémoire ses sentiments, car ils évoluent avec soi. <br><br>Une description possède :<br>    • Un choix de détails en fonction du texte dans lequel la description s'inscrit.<br>    • Des formes verbales de base : Le présent, l'imparfait.<br>    • Un point de vue.<br>Il faut savoir qui décrit. L'analyse, quant à elle, va au cœur du domaine qu'elle comprend. Une analyse permet de mettre en place un projet. Une analyse permet aussi de mieux connaître l'humain.<br>Une argumentation possède :<br>    • Le but explicite ou pas de l'auteur, afin de convaincre.<br>    • Une utilisation d'arguments et de certains protagonistes.<br><br>Une information ou explication :<br>    • Répond à une question ou à un problème énoncé au point de départ.<br>    • S'annonce en affichant le plan de l'exposé, ou avec la reprise de protagonistes, destinés à guider le lecteur ou l'auditeur.<br><br>Un texte injonctif s'adresse directement au lecteur avec :<br>    • Des formes verbales de base : de l'impératif, de l'infinitif, du futur simple ou de l'indicatif présent à la deuxième personne.<br>    • Une organisation chronologique.<br>    • Une supériorité réelle ou usurpée de l'énonciateur.<br><br><br>Il faut savoir où l'on va. Les meilleurs textes sont orientés vers un genre inattendu, un thème peu exploré. <br><br>L'écriture explique ou montre les caractères humains en les exagérant afin de les comprendre.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire un poème, une histoire, une chanson ou ballade, une analyse ou explication, un dialogue sur quelque chose ou quelqu'un...<br></div>",
"<div>9)  Manque de vocabulaire<br><br><br>Si on manque de vocabulaire, le plus important est de réussir avec ce qu'on connaît. Les mots difficiles s'apprennent au fur et à mesure. On s'en approprie plus facilement certains que d'autres, car ils parlent. Il y a une raison à cela.<br><br>Les œuvres les plus distribuées sont celles qui parlent à tous. Ne vous en faites pas, même les intellectuels déforment des mots rares. Un mot peu usité doit être compréhensible, dans le contexte pour lequel il est utilisé. Il est préférable de ne pas mettre trop de mots rares trop proches dans un paragraphe.<br><br>Écrire avec des mots simples, c'est écrire en général proche du lecteur intermittent, du lecteur enfant ou adolescent. On écrit alors souvent des phrases courtes. Écrire des mots simples est plus lisible avec des dialogues.<br><br>Pour l'écriture de roman ou d'une œuvre définie, il est possible de Trouver un partenaire complémentaire.<br><br>Ceux qui ont un vocabulaire peu étayé font de l'improvisation, de la poésie, des articles qui parlent au lecteur intermittent. Définir ce qu'on comprend de ce qu'on apprend, dès que le mot paraît étrange, permet d'afficher un point de vue, un avis. Le lecteur qui lit peu aime les avis et les explications.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire un texte uniquement avec des mots courants. Le faire lire à quelqu'un qui lit peu.<br></div>",
"<div>2)  Écrire une première histoire<br><br><br>Pour écrire une histoire, au départ, on écrit ou se dit un scénario, ou bien on écrit sur une feuille blanche ce qui passe par la tête. Écrire sur papier permet de rendre l'histoire logique. Il ne doit pas y avoir d'éléments incompréhensibles : les fautes de sens.<br><br>Votre histoire doit être comprise. Utiliser une description du lieu ou de l'époque, pour aller vers les personnages de l'histoire, permet, petit à petit, d'introduire la situation. Ensuite le scénario devient son histoire, en ajoutant des éléments de son vécu, qui peuvent être imaginés, ou bien des émotions ressenties, lorsqu'on écrit.<br><br>Chaque nouveau personnage est décrit psychologiquement, ou mieux physiquement, avant qu'il y ait ensuite de l'action. On ne décrit jamais assez ses personnages, car on croit les connaître. Il faut donc décrire comment on les perçoit.<br><br>Attention cependant à trouver les preuves de son imagination dans du vécu. Celles-ci doivent être réalistes. On peut ajouter d'autres éléments, en cherchant les fautes de sens. Les fautes de sens marquent notre manque de compréhension de nous ou des autres. Si on comprend mal ce qu'on lit, il faut retravailler ces fautes de sens.<br><br>Les meilleures histoires montrent du suspense quand on les lit. Les histoires les plus lues sont drôles et touchantes. Les plus beaux textes utilisent les talents de l'auteur, ne représentant au lecteur que du rythme au départ. La phrase longue donne une explication, ou un temps long. La phrase courte donne de la rapidité, ou une simplicité dans la compréhension. <br><br>Il existe la même démarche avec les mots. Un mot long, dans une phrase courte, peut ajouter de l'humour, ou de la surprise. Beaucoup de mots courts permettent de créer un dialogue familier, avec des mots courants.<br><br>L'auteur analyse ensuite ce qu'il a écrit. Il distingue son émotion, en écrivant. Cela le renforce. Cela lui permet ensuite de jouer avec le lecteur.<br><br>En s'ouvrant aux autres, il évolue et devient à chaque fois de plus en plus lisible, à force de se comprendre. La fin de l'histoire met fin au suspense. Si le lecteur n'est pas surpris, il peut être déçu, s'il n'apprend rien de plus. Quelque chose d'étonnant, ou une découverte, permettent d'écrire la fin. <br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire une histoire à partir de votre vécu...<br></div>",
"<div>3)  Écrire une histoire tout seul<br><br><br>Une histoire permet, entre autre, d'apprendre sur soi. L'oisiveté permet de l'écrire.<br><br>On écrit généralement une histoire en choisissant des personnages qui parlent à celui qui va lire.<br>On peut alors écrire en se disant \"si...\". Ensuite les idées peuvent venir d'elles-mêmes. Si rien ne vient, il suffit de penser à ce qu'on a vécu récemment. Ou alors on joue de la musique.<br>Mais il faut apprendre quelque chose aussi. On se prépare donc à travailler un nouveau thème ou le style.<br><br>Tout d'abord, pour travailler le style, il faut s'attacher à ce qu'on écrit. Il faut donc avoir travaillé un début de plan. La première écriture permet, avec l'envie, de créer la fraîcheur. <br><br>Ensuite, en enlevant les fautes de sens, on peut de nouveau ajouter de la fraîcheur, si on en a l'envie. Relire les phrases précédentes et suivantes, en connaissant l'histoire, permet d'ajouter correctement du sens. L'écriture c'est comme de la sculpture, on peut s'y reprendre à plusieurs fois, si on se connaît bien.<br><br>Enfin, pour travailler les idées, il faut choisir un thème qui motive. Il faut aussi se faire un avis sur ce qu'on a écrit. Son avis prime. Il n'est pas celui des autres. Il doit ainsi évoluer avec les bonnes informations.<br><br>En étant motivé, on peut donc travailler le style, pendant et après, puis les idées, avant et après.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire une nouvelle histoire, à partir d'une histoire écrite, que l'on souhaite améliorer...<br></div>",
"<div>4)  Écrire une histoire en groupe<br><br><br>Il est possible d'écrire plusieurs histoires en groupe, en faisant tourner autant de feuilles qu'il y a de personnes. Cette tournante consiste à limiter le nombre de phrases ou mots écrits.<br><br>Écrire un roman, ou une histoire élaborée, demande d'utiliser le brainstorming. Le brainstorming, ou remue-méninges, c'est trouver une histoire en groupe. On choisit un thème. Puis on essaye, ensemble, de trouver des idées, en fonction du thème. Ensuite, on essaie de créer une histoire, rocambolesque ou vécue.<br><br>Le brainstorming consiste à chercher le maximum d'idées, en les regroupant et en se disant \"si...\", afin de trouver une histoire. Le coordinateur sait gérer les différents tempéraments, afin de créer de la cohésion, donc du sens.<br><br>Ensuite, chaque groupe, ou chaque individu, écrit une histoire, ou une partie de l'histoire. Mettre en valeur la créativité permet de créer des histoires riches. On peut aussi s'attacher au sens, au style, à l'émotion. On peut s'aider d'images, d'un dictionnaire, d'Internet.<br><br>Celui qui mène le brainstorming permet :<br>    • De se confronter avec la réalité.<br>    • De trouver un sens, qui fera la raison du livre.<br>    • D'écrire à tue-tête sur une feuille blanche, en se disant \"si...\", en ne s'attachant pas à la forme, mais au fond.<br>    • De critiquer son scénario, afin de trouver un style, en ayant le plan à l'esprit.<br>    • D'écrire l'histoire, imagée ou réelle, en y mettant du vécu, son ressenti, des émotions, des envies, des rêves, son avis, mis en forme.<br><br>Il faut, ensuite, se préparer à la critique, ou alors ne pas se prendre au sérieux. Toute critique est subjective. Si on ne s'y retrouve pas, alors il manque des éléments dans son histoire.<br><br><br>Mes notes<br><br>Avec le chapitre Créer ses ateliers, au chapitre IV, mettre en place une histoire avec des enfants...<br></div>",
"<div>5)  Corriger la structure de son texte<br><br><br>Se critiquer est très difficile. Comme on ne peut se suivre soi, on évolue plus vite que la compréhension de son ego. Si on ne sait comment se comprendre, il suffit de voir ce qu'écrivent les autres de similaire, puis de comparer avec ce que l'on a travaillé.<br><br>On arrive à bien se critiquer en évoluant. À la fin on comprend ses points faibles, puis on les travaille. Après avoir retenu le plus important, après avoir changé ce qu'on croyait mauvais, vérifier ses écrits, par un ou une amie, permet de savoir si on avait raison de se corriger. Comprendre ses peurs et préjugés permet de ne pas faire les mêmes erreurs de correction.<br><br>Certaines remarques reviennent souvent. Par exemple, le lecteur aimerait vivre ce qui touche à son quotidien. L'auteur s'attache, lui, au sens de l'histoire et à son objectivité. En effet, le lecteur est habitué à lire des phrases qui ont du sens, sinon il s'arrête de lire. Par contre il retient ce qui le touche. A nous donc de le toucher vers la bonne direction.<br><br>Le lecteur aime s'identifier au héros. Si on pense que le lecteur a l'impression de se mettre à la place du héros, on peut ajouter de l'objectivité, accentuant la cohésion du texte.<br><br>Des événements intriguent. D'autres accentuent ces intrigues. On peut les placer après la présentation des personnages, afin qu'on s'intéresse encore plus à ces derniers.<br><br>Un scénario permet de trouver du sens à son histoire. Au départ, on écrit pour le fond ou le style, puis après pour les autres.<br><br>Être critiqué permet de savoir à qui on s'adresse, en écrivant. On finit, enfin, par trouver ses lecteurs, avec les critiques constructives. <br><br><br>Mes notes<br><br>Critiquer un texte que l'on souhaite améliorer...<br></div>",
"<div>E)  Écrire pour soi<br><br><br>Au départ on écrit pour soi. Notre ego veut ainsi combler ses lacunes. On veut trouver la réponse à quelque chose sur soi, qui turlupine. <br><br>Cette envie de trouver une réponse sert d'abord à soi. On améliore sa communication et son écoute, afin de devenir celui qui sait.<br><br>Alors, la confiance permet de s'apercevoir que l'on sait se diriger vers des bons choix. Elle permet aussi d'être satisfait, de savoir ce que l'on veut, de réfléchir pour soi.<br><br>Au fur et à mesure, on va un peu plus, chaque jour, vers l'abstraction de ce qu'on l'on sait. On se sent valorisé. On est comblé.<br><br>On peut alors communiquer sur soi, en prenant le risque de déplaire. L'humilité ou l'humour plaisent toujours.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire une histoire sur ce qu'on aime en soi...<br></div>",
"<div>1)  Rêver<br><br><br>Les rêves sont très importants dans l'écriture. Nos écrits sont joyeux avec des rêves créatifs. Notre environnement crée nos rêves. Il faut donc tout faire pour rendre nos rêves positifs et avoir un environnement stable. Nos écrits servent à améliorer la stabilité de notre environnement, à préparer nos rêves.<br><br>On peut écrire et avoir mal. Seulement l'écriture, si on ne la comprend pas, peut devenir malsaine. Nous nous rendons compte de cela par notre peur d'évoluer. Si on ne se questionne pas on finit pas abandonner l'écriture. Écrire des histoires tristes n'a rien à voir avec le mal-être. L'objectif principal de l'écriture est de se construire. On peut construire avec une histoire triste.<br><br>Nous ne vivons que parce que nous avons des problèmes. L'humain construit plus qu'il ne détruit. Si nous évitons les problèmes qui permettent d'avancer, nous ne vivons plus. Ceux qui n'ont pas de problèmes se les inventent, ou les évitent. Ils finissent dans l'excès de leur oisiveté.<br><br>En voyant notre entourage comme des personnes permettant d'améliorer, nos rêves reviennent par notre intuition de changer. La réflexion permet d'être constructif. Alors le lendemain cette réflexion s'améliore. À force de réfléchir, nous sommes prêts à affronter un problème quelconque.<br><br>Travailler sa mémoire, vérifier si l'on se souvient des jours précédents, permet de s'analyser. Si l'on oublie plus ou moins vite, il faut, plus ou moins, écrire des essais de réflexions fuyantes. S'analyser permet de réveiller mieux son talent.<br><br>En évitant les images trop frustrantes, ou une ambiance nauséabonde, nous sommes disponibles pour évoluer vers un objectif que nous souhaiterions se réaliser inconsciemment. Nous construisons forcément notre personnalité. Alors nos envies nous guident.<br><br><br>Mes notes<br><br>Imaginer ou écrire un rêve...<br></div>",
"<div>2)  Chercher la vérité<br><br><br>Pour écrire, il faut être à la recherche de sa vérité. La recherche de la vérité, c'est la quête du bonheur. Notre esprit doit apprécier les instants joyeux. Le bonheur est un aboutissement, car notre cœur le souhaite.<br><br>Seulement, avec la cupidité, certaines personnes ne veulent pas du bonheur des autres. Des avis faussent le nôtre. Avec ces nuisances, nous avons alors un manque d'objectivité.<br><br>Chercher l'objectivité, ou la vérité, permet de résoudre ses problèmes avant qu'ils n'arrivent. Cela permet aussi de comprendre plus facilement les problèmes, en les écrivant. On s'aperçoit, en effet, que nos erreurs viennent d'un manque de compréhension de soi, ou d'un manque de préparation.<br><br>Le manque d'objectivité se crée en étant dans la passivité, dans le manque de réflexion ou d'action, en ne confrontant pas son avis avec les autres. Nous laissons faire notre arrogance ou nos peurs.<br><br>Il faut alors vérifier ses paroles, faire preuve d'abstraction et d'analyse, pour créer un jugement correct. La civilisation actuelle est remplie de faux jugements, de cupidité, d'influence de l'argent.<br><br>On se regarde soi plus facilement par écrit que sans aucun support. On cherche alors l'objectivité, afin de s'entendre avec son ego. Comme cela, il ne nous renie pas. On trouve donc son bonheur, à force de chercher la vérité. Le bonheur vient si on s'entend avec son ego, si on évolue aussi, si on s'aime enfin.<br><br>Nous avons tous pris des raccourcis dans nos réflexions d'enfant, car l'enfance c'est l'excès. Combler les raccourcis que l'on a pris et que l'on possède encore, en mécanismes,  permet d'anticiper. On comprend alors ses plus gros défauts, après des trouvailles sur ses qualités écrites, par son bonheur donc. Si l'on a peu de mémoire il faut écrire comment on réfléchit, afin de déceler des certitudes, à partir d'une logique.<br><br>Seul un travail sur son ego peut combler des raccourcis, que l'on trouve alors idiots, car ils se révèlent petits à petits. On les écrit pour ne pas oublier. Ils disparaissent petits à petits, avec l'honnêteté d'avoir compris son propre fonctionnement.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur votre enfance, ce que vous avez aimé puis regretté...<br><br>Lorsqu'on est positif, quelquefois, des défauts se révèlent par son envie de rester dans la satisfaction de soi. Il est très difficile d'avoir complètement raison au début de sa vie.<br></div>",
"<div>3)  Avoir un style<br><br><br>Au départ, le style d'un auteur est souvent indépendant de sa volonté. C'est la façon de réfléchir qui construit l'écriture. C'est pourquoi au départ nous pensons que nous écrivons mal, parce que nous souhaiterions écrire d'une certaine manière. <br><br>Or, en appréciant ce que l'on écrit, en se construisant, en lisant ses textes à ses amis, on s'étonne de soi. Il ne faut pas ressembler mais s'assembler. C'est pourquoi, écrire sur une feuille blanche, en se disant \"si..\", permet de créer un début de style. <br><br>Notre envie de bien écrire indique, peu après, ou longtemps après, comment notre style peut évoluer. Les autres permettent de l'expliquer.<br><br>Les bases sont simples. Les phrases courtes rendent accessibles, ou créent de l'action. Alléger ses écrits permet de devenir accessible. Les phrases longues, avec peu de verbes, ralentissent le rythme.<br><br>Ensuite la technique se crée avec les phrases que l'on écrit. Une façon de réfléchir crée un style. Améliorer sa technique permet d'étendre son accessibilité. Le lecteur veut avant tout comprendre, ensuite rêver, enfin s'épanouir.<br>Mes notes<br><br>Écrire sur le style d'un texte à vous, que vous aimez...<br></div>",
"<div>4)  Devenir positif<br><br><br>Être positif permet d'écrire sainement. Se dire que l'on peut écrire plus tard nuit à l'écriture. De même des réflexes qui consistent à s'appesantir sur ce qui fonctionne mal ne servent à rien, si l'on n'a pas cette envie d'améliorer ses défauts. <br>Nous sommes positifs si notre passé nous parle, si nous sommes bien entourés, si nos rêves construisent notre vie, si nous servons à notre entourage, si quelqu'un a besoin de nous, si nous sommes réconfortés et soutenus.<br><br>Notre environnement ou notre passé crée notre positivisme. Au départ nous sommes tous positifs. Si notre passé est négatif, il faut modifier notre avenir pour notre ego, grâce à l'écriture.<br><br>Le lecteur aime se réconforter en lisant. Si nous ne sommes pas positifs ou journalistes, il nous en voudra. Nous devenons journalistes, en répondant aux interrogations que nous nous posons, en utilisant notre environnement. <br><br>L'écriture permet de se corriger. Le positivisme permet de montrer son avis, quant à une voie inexplorée. L'humour permet d'échapper au sérieux d'une faute de goût. La simplicité permet d'être compris. La naïveté permet d'interpeller.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur ce que vous avez fait de mieux dans votre vie...<br></div>",
"<div>5)  Pourquoi écrire ?<br><br><br>On écrit :<br>    • Pour soi - Au début on se parle à soi.<br>    • Pour savoir ce que l'on est en train de faire.<br>    • Pour les autres - Ensuite on s'adresse aux autres.<br>    • Pour garder une trace de sa vie.<br>    • Pour raconter le bon côté de sa vie.<br>    • Pour exposer quelque chose.<br>    • Pour se comprendre.<br>    • Pour imaginer une histoire et la revivre.<br>    • Pour se présenter au travail.<br>    • Pour s'épanouir.<br>    • Pour anticiper le futur.<br><br>Pour s'améliorer, il faut aller vers le domaine qu'on connaît peu : L'écoute ou la communication.<br><br>Les objectifs diffèrent, en fonction de sa personnalité. Certains manques se comblent plus facilement, en faisant certaines choses.<br><br>Écrire sert pour celui qui écoute à :<br>    • Sa technique.<br>    • Son style.<br>    • S'épanouir.<br>    • Préparer sa communication.<br>    • Se présenter.<br><br>Écrire sert pour celui qui communique à :<br>    • Garder des traces de ses dires.<br>    • Aller dans le fond des choses.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire, en vous croyant une personnalité politique, un héros ayant conquis tout un peuple...<br></div>",
"<div>6)  La perception du lecteur<br><br><br>Ce que l'on écrit se perçoit toujours d'une façon différente par le lecteur, puis par soi plus tard. On s'aperçoit de certaines lacunes, quand on se lit, après avoir entendu des remarques. Utiliser le perfectionnisme permet d'améliorer, ou de remplacer, ce qui ne plaît pas au lecteur écoutant ou communicant.<br><br>Normalement, un auteur s'adresse à des lecteurs toujours plus jeunes que lui, sauf s'il écrit avec un style trop sombre. Dans ce dernier cas, il faut se poser des questions sur l'utilité de son écriture.<br><br>Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans l'écoute, aiment en premier de l'auteur :<br>    • Ses secrets.<br>    • Sa vie.<br>    • Ses souhaits.<br>    • Son objectivité.<br><br>Après avoir écrit, certains genres de lecteurs, dans  la communication, aiment en premier :<br>    • L'écriture.<br>    • Le côté limpide.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur ce qui est incompris de vos lecteurs...<br></div>",
"<div>7)  Comment écrire ? <br><br><br>Il faut utiliser le maximum de méthodes à sa disposition. Il existe l'écriture avec contraintes, qui permet de trouver à écrire, si on pense aux autres. <br><br>La mise en situation est une très bonne méthode pour bien écrire. On cherche les raisons qui ont poussé à bien écrire, pour penser de la bonne manière. <br><br>Au départ, un atelier d'écriture permet de se mettre en situation. Une introspection permet de trouver l'inspiration. On se parle à soi, puis on écrit pour les autres. Avec le questionnement et la motivation, on se met en situation. Ensuite, les automatismes peuvent venir.<br><br>Parfois, on ne remarque pas qu'on utilise une nouvelle méthode. C'est pourquoi on se laisse aller en se disant \"si...\", en utilisant son oisiveté. Puis …<br>    • Écrire un plan ou le penser permet, ensuite, de travailler son style, ou d'élaborer une histoire.<br>    • Écrire spontanément permet de trouver un style et de le travailler.<br>    • Se préparer à ce qui manque permet de s'améliorer, sur ses défauts.<br>    • Utiliser le brainstorming, en créant une histoire en groupe, permet d'élaborer une histoire. Ensuite, l'histoire doit avoir un sens.<br>    • Utiliser le perfectionnisme permet de travailler un défaut, récemment trouvé.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire en décrivant deux images. L'une fera le début de l'histoire. L'autre fera la fin...<br></div>",
"<div>8)  Par quoi commencer ?<br><br><br>Avant d'écrire, il faut avoir en tête les différentes façons d'écrire :<br>    • Histoire – Texte imaginé.<br>    • Chanson – Musique et refrains.<br>    • Ballade - Entre la chanson et l'histoire.<br>    • Poème - Texte à vers.<br>    • Sonnet - Poème avec des alexandrins et une structure en 4 + 4 + 3 + 3 vers.<br>    • Nouvelle - Anecdote longue.<br>    • Roman - Histoire longue avec des scénarios.<br>    • Histoire drôle.<br>    • Blague - Histoire rocambolesque à fin marrante.<br>    • Sketch - Histoire drôle à mettre en scène.<br>    • Théâtre - Histoire avec un scénario à mettre en scène.<br>    • etc. <br><br>On a ses préférences. Cependant essayer les différents genres d'écriture permet de trouver de nouvelles inspirations. Les techniques utilisées ne doivent pas gêner.<br><br>Il faut écrire, dès que l'on pense à quelque chose, même si on ne veut pas en garder une trace. On utilise alors l'humour. Écrire permet de garder la mémoire, ou d'inventer des histoires.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire un genre de texte que vous hésitez à essayer...<br></div>",
"<div>5)  Créer ses ateliers<br><br><br>Créer un atelier, c'est animer un groupe de personnes, autour d'un thème choisi, en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l'auditeur. Or on sait qu'on est le plus accessible aux débutants lorsqu'on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s'apprend avec des personnes complètement différentes.<br><br>Il existe sur le web des sources intarissables pour créer votre atelier. FRAMABOOK vous donne la possibilité d'imprimer des documents sur l'informatique. La langue des signes peut être enseignée grâce au web en ateliers sans forcément la connaître. Il faut cependant savoir observer. On peut aussi apprendre à créer avec un instrument.<br><br>Il faut aussi vérifier les licences de diffusion des documents, servant de base, afin de savoir si l'atelier peut se faire.<br><br>Un site web de sorties permet de tester son atelier. On peut aussi consulter sa maison de quartier, une association. L'essentiel est de s'y retrouver.<br><br>Il existe un degré d'acceptation d'une information par un débutant. Cela est valable aussi pour la lecture. On apprend à doser ses informations en dialoguant.<br><br>À force de créer des ateliers, on échange des éléments essentiels du quotidien. Le thème choisi est étudié en long et en large, avec des personnes peut-être plus compétentes que soi. Vous vous aurez osé. Eux feront peut-être comme vous.<br><br>Mes notes<br><br>Mettre en place un atelier, autour de votre domaine de prédilection. Il faut avoir écrit, puis fait lire des écrits autour de son domaine, puis s'intéresser à transmettre...<br></div>",
"<div>9)  On m'oblige à écrire<br><br><br>On écrit mieux quand on le souhaite. Une rédaction ne se valorise pas si on ne la veut pas. <br><br>Il faut alors se préparer sur les doutes qui empêchent d'écrire. En s'accaparant ces doutes, l'esprit devient plus clair sur ce que l'on ne souhaite pas faire. L'incertitude permet de trouver ses propres limites.<br><br>Penser à ce qu'on va écrire permet de se préparer. On essaie alors de trouver ce qu'on aime dans le sujet demandé. Quand l'envie vient, ensuite on met sur papier :<br>    • Des idées.<br>    • Ses contradictions – On se contredit quand on ne veut pas écrire.<br>    • Un plan.<br>    • Le texte.<br><br>Juste avant la lecture, un auteur a envie qu'on lui réponde par rapport à ses doutes. Alors, n'hésitez pas à dire ou écrire ce que vous attendez de la lecture. <br><br>Si vous n'êtes pas préparé à la lecture de votre texte, vous pourriez le regretter. Sachez que les meilleurs auteurs évoluent tous.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur votre incertitude...<br></div>",
"<div>10)  Pourquoi ?<br><br><br>On écrit souvent parce qu'on aimerait en savoir plus sur soi. Après tout, à force de ne plus se poser de question, on perd ses repères.<br><br>Après avoir écrit on :<br>    • Peut distinguer ses limites.<br>    • Se perçoit mieux.<br>    • Se comprend mieux.<br>    • Rêve.<br>    • Utilise l'écriture comme exemple.<br>    • A envie de chercher d'autres émotions.<br>    • Veut être compris.<br>    • A envie d'échanger ce qu'on s'est dit.<br>    • Veut voyager, pour écrire autre chose.<br>      <br>      On peut chercher d'autres envies. Cela permet de trouver d'autres situations pour le lecteur, tout en influençant le style. Chacun est différent. Chacun a des envies différentes.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur quelque chose que vous souhaitez faire...<br></div>",
"<div>11)  Avoir un avis<br><br><br>Nous ne sommes jamais complètement d'accord avec ce qu'on nous dit, car nous filtrons ce que nous entendons, avec notre esprit. Cette faute humaine nécessite donc d'avoir un avis. <br><br>Mais ensuite il faut confronter son avis avec la réalité. On peut alors se dire qu'on avait tort. Un avis évolue toujours, parce qu'il était toujours imparfait au départ. <br><br>Ensuite il évolue encore avec le temps. Les problèmes honteux viennent pour ceux qui ne changent pas d'avis, car ils ne se confrontent pas avec la réalité, voire la situation. Ils finissent avec des échecs.<br><br>Un avis c'est :<br>    • Un début de compréhension.<br>    • Une évolution humaine.<br>    • Une compréhension des autres.<br>    • Un filtre humain sur des informations.<br>    • Se sociabiliser.<br><br>Un avis peut être faux. Il l'est forcément un peu au départ. Il peut être insoluble, futuriste, inapproprié. Si votre avis est futuriste, vous pouvez mener des projets, en vous confrontant avec les autres.<br><br>Il faut écrire pour savoir d'où vient son avis. On s'aperçoit, en se relisant, qu'il y a des imperfections, si on se contredit quelquefois. Ces imperfections peuvent cacher un manque d'informations. Ce manque d'informations peut cacher une erreur grave de sa part. <br><br>Les médias papier, radio, ou télévisés ne diffusent que les informations que nous voulons entendre. Tous les médias déforment l'information, à cause d'une ligne éditoriale, ou d'une quelconque censure. Il faut donc vérifier d'où vient l'information, comment elle est diffusée, comprendre les avis engendrés, savoir s'il y a de la rétention d'information et laquelle.<br><br><br>Mes notes<br><br>Imaginez votre avis, quand vous aurez comblé vos défauts, ceux qui empêchent de vous épanouir pleinement...<br></div>",
"<div>12)  Avec quoi écrire ?<br><br><br>On écrit toujours notre vie. Au début l'écriture permet plus d'apprendre à se connaître, ou à connaître les autres. Au départ, on a du mal à se comprendre, ou à comprendre les autres. Partir de ce qu'on connaît le mieux, tout en explorant l'inconnu, permet d'aller plus loin. Cela donne, ensuite, envie de s'informer, pour donner son avis.<br><br>On s'informe selon ses orientations. Le journalisme1 permet de s'informer. Il ne faut pas aller contre soi, tout en évoluant. Les personnes qui nous apprennent une nouvelle information peuvent apporter ce plus qui manque. Ce que nous refusons d'écouter freine notre potentiel d'évolution, parce que nous ne savons pas le critiquer.<br><br>À la fin, l'écriture devient un jeu où l'on délivre ses cartes. Ces cartes, qui donnent du sens à nos textes, viennent de ce qui a été appris à notre manière. Notre avis prime, car nous sommes tous faits de la même manière. <br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur une conférence que vous avez vue...<br>On trouve des conférences sur des sites web de vidéos, de bibliothèques, d'associations voulant diffuser une information.<br><br></div>",
"<div>13)  Le fond ou la forme ? <br><br><br>Il existe deux genres d'écrivains :<br>    • Écrivains attachés à la forme ou la communication.<br>    • Écrivains attachés au fond ou à l'écoute.<br>Si on est communicatif, trouver les idées avec les relations, ou la lecture, permet d'avancer vite. Sinon, trouver une mise en forme, ou retravailler ses écrits, permet d'améliorer le style, qui s'améliore.<br><br>Travailler avec quelqu'un, qui a déjà écrit, ou bien quelqu'un à l'opposé de soi, permet de s'améliorer. Cette écriture devient, alors, suffisamment homogène pour être entendue.<br><br>Pour écrire il faut se donner envie, si on est dans l'écoute. On retravaille ses textes, pour améliorer le style. On évolue. <br><br>On s'analyse, pour changer son style. Trouver quelqu'un pour améliorer techniquement sa créativité permet de mieux comprendre les autres.<br><br>Il faut, si on est dans la communication, chercher qui ou ce qu'on est. Si on communique beaucoup, on comprend les autres. <br><br>Expliquer positivement aux autres qui ils sont permet de les combler. Ensuite ils nous apportent du fond.<br><br>Mes notes<br><br>Écrire sur quelqu'un à l'opposé de vous...<br></div>",
"<div>14)  Bien écrire <br><br><br>Pour bien écrire il faut :<br>    • Rêver – Notre environnement fait rêver.<br>    • Aller de l'avant – Le lecteur veut avancer.<br>    • Se dire comment les choses sont faites.<br>    • Écrire ce qu'on perçoit – Cela galvanise.<br>    • Se dire \"si...\" pour trouver à écrire.<br>    • Changer pour évoluer – Avoir en tête ce que l'on est permet de faire de meilleurs choix.<br><br>On travaille plus :<br>    • Sa technicité, si on est dans l'écoute.<br>    • Le fond, si on est dans la communication.<br><br>Écrire bien, c'est sculpter son texte, en sachant ce que le lecteur souhaite. On sait au fur et à mesure ce que le lecteur souhaite, en allant vers les autres.<br><br>Le lecteur journalier souhaite techniquement la précision, le sens, le fond, le style. Il faut aller le chercher, car il lit tout.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire une histoire fantastique que vous souhaitez vivre...<br></div>",
"<div>15)  Créer un rythme <br><br><br>Pour créer un rythme rapide, il faut :<br>    • Utiliser des verbes d'actions.<br>    • Créer des phrases courtes.<br><br>Pour créer un rythme lent, il faut :<br>    • Expliquer au maximum ce qu'on pense.<br>    • Ne pas utiliser de verbe d'action.<br>    • Utiliser les participes.<br>    • Ajouter des mots de liaisons.<br>    • Mettre des virgules.<br><br>Il est plus agréable de passer lentement d'un rythme à un autre, excepté pour l'effet de surprise. Utiliser l'émerveillement, plutôt que le rythme, permet aussi de surprendre. Une écriture avec un rythme haché est illisible.<br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire uniquement avec des phrases courtes et des verbes d'action...<br>Puis, écrire le lendemain, avec des phrases longues compréhensibles.<br>Comparer les deux écrits.<br></div>",
"<div>F)  Écrire avec une contrainte<br><br><br>Une contrainte, bien étudiée, permet de trouver à écrire. Tout d'abord il faut se dire qu'elle ne convient pas ou qu'elle convient. En effet, pour écrire, il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait, ou pas, avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés.<br><br>Ensuite on commence à écrire. Puis on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant \"si...\" on adapte ses idées, en les confrontant avec la réalité de la contrainte.<br><br>Quand la cause semble perdue, ou même lorsqu'elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant, grâce à ses qualités, qu'elles soient de paroles ou humaines, tout simplement.<br>Celui qui défend les causes perdues sait convaincre... <br><br><br>Mes notes<br><br>Écrire en défendant un voisin détesté...<br></div>",
"<div>1)  Les contraintes<br><br><br>Les contraintes ne servent qu'à trouver à écrire.<br>On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul :<br>    • Trouver des mots et les placer dans son texte. Cela permet d'écrire avec spontanéité.<br>    • Placer des images ou photos dans son texte pour travailler la description.<br>    • Faire commencer ses phrases par certains mots comme \"si\" ou \"j'aime\". Ne pas hésiter à confronter le négatif avec le positif.<br>    • Finir ses phrases par certaines rimes. Cela permet de travailler la poésie.<br>    • Apprendre un nouveau genre de texte. Il existe beaucoup de méthodes pour écrire, afin d'être bien compris.<br>    • Utiliser une méthode de travail ou d'analyse permet d'apprendre des métiers.<br>    • Faire le journaliste, avec Internet, ou ses amis, pour travailler la curiosité.<br>    • Retravailler un texte, avec un objectif. On s'améliore, si l'objectif est atteint.<br>      <br>On peut utiliser ce genre de procédés en groupe:<br>    • Boucher les trous d'un texte, dont on a éludé des phrases ou mots. Cela fait travailler l'imagination.<br>    • Faire tourner des feuilles vers son voisin, de gauche ou de droite. Cela fait travailler la dextérité, car certains écrivent à tue-tête.<br><br>Mes notes<br><br>Essayez les différentes façons d'écrire avec une contrainte.<br></div>",
"<div>11)  Écrire un discours<br><br><br>S'adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d'être dans l'action et dans l'objectivité, permettant à ceux qui écoutent de s'identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l'amour, la peur, etc.<br><br>Le début d'un discours consiste donc à créer au moins un désir. On décrit un désir en commun avec les personnes à l'écoute. On écrit ce qui a amené à ce désir, ses envies qu'il engendre, d'autres désirs amenés par ses envies. On cherche l'objectivité, en proposant à ceux qui écoutent de construire avec eux un projet.<br><br>Ensuite on comble le désir, en proposant en emphase son avis, son projet. L'emphase consiste à trouver des mots de plus en plus positifs avec un rythme musical de plus en plus soutenu. Créer un rythme avec des verbes d'actions intensifie son emphase. Les phrases courtes ont un objet voire plusieurs, qui sont mis en valeur avec des louanges.<br><br>Il faut une fin à son discours. On écrit une pensée, lue ou écrite, qui comble l'auditeur, en faisant référence à  quelqu'un qu'il connaît. Ou bien on écrit une emphase. Avec, le public participe à ses idées.<br><br>On relit son discours, en cherchant comment les auditeurs percevront ce qu'on a écrit, afin de se mettre en valeur. Il faut donc comprendre l'humain pour écrire un discours.<br><br>Si vous voulez en savoir plus sur la réalisation de discours, contactez votre écrivain public, participez à une formation sur la prise de parole, ou bien lisez un livre sur la prise de parole en public.<br><br>Mes notes<br><br>Écrire un discours sur ce que vous aimez chez les autres...<br></div>",
"<div>12)  Apprendre à former <br><br><br>Former, quand on ne connaît pas le métier, nécessite de l'écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l'auditeur. Il y a généralement un domaine où l'on a vite évolué, alors qu'un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu'il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance.<br><br>Si on écoute beaucoup les autres, on hésite à se valoriser, mais on est intéressant. Si on communique beaucoup, on se présente bien, mais il manque le contenu. Il est nécessaire d'être complet, pour former ou écrire.<br><br>Seulement, pour former, il faut savoir communiquer un contenu. Celui qui est dans la communication sait vite former, mais manque de formations à créer. Il aime cependant lire et analyser, pour transmettre, plus qu'apprendre aux autres.<br><br>Celui qui est dans l'écoute doit utiliser sa créativité pour expliquer. Il doit comprendre celui qui a du mal. Par contre, plus tard, il peut créer de nouvelles formations, pour apprendre et créer.<br><br>Au départ, on ne veut pas comprendre celui qui a du mal, parce qu'on veut se comprendre soi. Seulement, à force de former, on finit tôt ou tard par comprendre l'auditeur. Le stress positif nous permet de créer des formations attractives. La créativité et le stress positif sont notre atout maître. Le stress négatif a montré un manque, souvent dû à une mauvaise préparation.<br>Pour former excellemment, il faut savoir aller vers ceux qui ne nous comprennent pas. Ceux qui ne nous comprennent pas peuvent ne pas nous aimer. Comprendre pourquoi ils ne nous entendent pas permet de trouver du sens. S'ils ne nous aiment pas ils pourront nous dire plus facilement pourquoi ils n'écoutent pas, si nous les comblons.<br><br>Le néophyte doit comprendre votre formation. Arriver à ce qu'un inconnu arrive à comprendre votre formation, c'est l'aboutissement d'une formation réussie. Il faut utiliser le moment où l'on est le plus communicatif et le plus créatif, pour arriver à cela. On peut apprendre à devenir communicatif et créatif, grâce au théâtre, ou à la lecture de contes. Les meilleurs comédiens sont à la fois dans l'écoute et la communication.<br><br>Il existe des cours sur la formation de formateur. Des cours du Conservatoire National des Arts et Métiers permettent de s'attacher à la diffusion ou à la préparation et au suivi d'une formation.<br><br>Mes notes<br><br>Essayer de former un ami qui souhaite quelque chose de vous. <br><br>Il faut savoir créer un atelier. Il faut avant savoir ce que demande l'auditeur et ce qui est induit ou non exprimé dans sa demande. <br>Des questions ouvertes sont des questions laissant le choix des réponses. Elles permettent d'apporter une première réponse. Des questions ciblées ensuite permettent de s'assurer de la bonne compréhension de la formation...<br></div>",
"<div>13)  Apprendre un métier<br><br><br>Pour former sur beaucoup de thèmes, il est intéressant d'apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations. <br><br>Seule la pratique permettra d'être bon dans ce nouveau métier. La mémoire et la mise en situation permettent de s'adapter au travail à effectuer.<br><br>Chaque métier possède son vocabulaire, ses méthodes, ses outils, ses codes. Après avoir lu un métier, écrire permet de mettre en pratique ce que l'on a appris. Avec des exercices à corriger, on peu ainsi apprendre, par la lecture, puis l'écriture.<br><br>Il faut s'intéresser aux détails, ne pas hésiter à se passionner, en écrivant, lorsqu'on apprend. C'est lorsqu'on apprend que l'on est le plus proche du lecteur, quand on pense à lui surtout. On peut ainsi détailler, jour après jour, un livre accessible.<br><br>Mes notes<br><br>Chercher un livre d'exercice sur un métier, que vous auriez souhaité faire.<br></div>",
"<div>14)  Mon premier sketch <br><br><br>Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l'envie. Ce sont l'esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l'humoriste. La fraîcheur donne de l'enthousiasme. L'humour c'est se comprendre en s'amusant. Si la vie n'était que bonne humeur, nous serions plus à l'écoute des autres.<br><br>Pour écrire un sketch, on ajoute d'autres cartes de genres différents que les premières. Être un humoriste avec ses amis permet d'être drôle, mais nécessite ensuite de l'écoute afin de s'améliorer. Ou bien comprendre l'humain permet de se moquer de soi, mais peut ne pas être drôle. <br>Celui qui écoute aime croire qu'il a quelqu'un de stupide en face de lui. Donc on fait croire que celui qui raconte le sketch est ridicule. Cela permet de se rapprocher d'autrui. Plus on sait se moquer de soi, plus on s'accapare un public.<br><br>En utilisant les différents comiques, pour écrire son sketch, on comble ses différents auditeurs. On peut utiliser le comique de situation et le jeu de mots, avec des gestes exagérés, un jeu sur le caractère et les mœurs. On peut aussi utiliser l'exagération, la poésie, les quiproquos du langage, l'étonnement, une situation étrange, des personnages burlesques ou touchants.<br><br>Lors d'une première présentation, on voit quand rit son public. On peut tester, avec eux, une partie de son histoire. Inventer des histoires permet, pour quelqu'un qui retient bien les drôleries, de créer des situations rocambolesques.<br>Pour écrire un bon sketch, la compréhension de celui qui écoute est primordiale. Comprendre pourquoi celui qui entend rit permet de s'informer sur soi. Si on est psychologue, on écrit déjà quelque chose qui peut être entendu. On peut aussi trouver ce qui est drôle dans certaines mimiques. Ensuite, utiliser l'humour permet de se prendre au ridicule.<br><br>Écrire un bon sketch nécessite la compréhension de celui qui l'écoute. Comprendre pourquoi celui qui écoute rit permet de se renseigner sur soi. <br><br>Mes notes<br><br><br>Écrire un sketch avec des situations humaines absurdes...<br></div>",
"<div>15)  Écrire une romance<br><br><br>Écrire une romance nécessite de ressentir, en soi, une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées, ou bien par ce qu'on vit chaque jour ? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l'un plus que l'autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes.<br><br>Se renseigner sur les autres permet d'écrire pour eux. On écrit pour les autres quand on pense à la perception du lecteur, que l'on sait ce qu'il va aimer ou pas. Pour écrire une romance, il faut aussi se mettre en situation, avec ses personnages. Se mettre en situation peut s'apprendre en faisant du théâtre.<br><br>Lorsqu'on écrit d'un premier jet, il faut garder en mémoire la perception orale de ce que l'on écrit. En écrivant cette perception, avec un vocabulaire courant, on retranscrit les personnages tels qu'on les perçoit. En gardant cette vue orale sur le comportement des personnages, on améliore les textes, sans enlever l'essence du roman.<br><br>Choisir des personnages tirés du vécu permet de montrer vos vies explorées, avec votre intimité, ou votre perception. Tout ce qu'on aurait voulu trouver permet d'écrire et d'imaginer des situations. Chaque personnage possède une intrigue qui évolue. Cette romance est courte, si cela suffit, ou longue si elle parle.<br><br>Le lecteur doit s'attacher au futur des personnages. Ainsi ceux-ci doivent prendre des risques qui parlent au lecteur. Évidemment l'amour est le thème qui parle à tous. Mais on peut ajouter d'autres petites histoires, qui ont un lien avec la romance. On peut se dire \"si..\", pour imaginer ces histoires parallèles. <br><br>Utiliser un scénario permet de savoir si ce qu'on écrit a du sens et du suspense. Le sens se cherche à chaque instant. Résumer la romance permet de déceler des modifications à effectuer.<br><br>On peut écrire avec quelqu'un d'autre, pour se motiver, en utilisant le brainstorming et les qualités toujours différentes de chacun.<br><br>Écrire une romance nécessite de rester dans le monde de ses personnages longtemps. On devient rêveur, mais le discuter avec les personnes qui ressemblent à soi permet de donner plus de sens, plus de situations quotidiennes.<br><br>Une bonne romance est une romance où l'auteur sait amadouer le lecteur. Savoir ce que veut le lecteur est donc primordial. En sachant ce qu'il attend de soi, on le comble avec la technique. Sa technique, c'est la connaissance de soi, comblée par un style amélioré, du sens ajouté, du rythme travaillé, des erreurs évitées.<br><br>Mes notes<br><br>Assembler des histoires écrites en un roman...<br></div>",
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